On s’est connu à Comblain C’est écrit dans le ciel
Des souvenirs, on en a plein C’est écrit dans le ciel
Depuis, on a fait du chemin C’est écrit dans le ciel Mais cette année,on revient C’est écrit dans le ciel
Naar Comblain met de trein C’est écrit dans le ciel
Op kolonie is zo fijn C’est écrit dans le ciel
Met de vrienden dansen, springen C’est écrit dans le ciel
Laat ons samen zingen C’est écrit dans le ciel
My nie chcemy śpiewać sami C’est écrit dans le ciel
Więc śpiewajcie razem z nami C’est écrit dans le ciel
Cicho i pianissimo C’est écrit dans le ciel A teraz fortissimo. C’est écrit dans le ciel
Że cię spotkać kiedyś mam C’est écrit dans le ciel
I że serce ci dam C’est écrit dans le ciel
I że będzie nam przyjemnie C’est écrit dans le ciel
Bo kochamy się wzajemnie
Do stu lat będziemy żyć C’est écrit dans le ciel
Wiele dzieci będziem mieć C’est écrit dans le ciel
Czterech synów, córki trzy C’est écrit dans le ciel
I piosenka się kończy C’est écrit dans le ciel
1° ) Dominique et moi, nous sommes heureux de vous annoncer une naissance …
Rassurez-vous, ma belle-sœur et moi, nous n’avons que des rapports strictement amicaux et dictés par la morale.
La naissance dont il est question, c’est celle de notre blog consacré aux « Anciens de Comblain ».
Quand je dis Notre blog, j’entends le blog de nous tous, de TOUS les Anciens de Comblain.
Vous y retrouverez déjà les quelques articles que vous avez vu passer par vos boîtes mails, d’autres suivront.
Le but étant de replonger dans l’atmosphère si agréable de notre jeunesse à la colonie. Et comme disait la pub : « On vous donnera l’envie de revenir ».
Donc, n’hésitez pas à le consulter, à y ajouter vos commentaires, et continuez à nous envoyer vos photos, vos anecdotes, vos histoires, etc … cet espace est là pour ça. Merci d’avance. Voici le lien :
Pierre-Marie Pytel : ancien de Comblain : Sur la photo 65, qui date de 1967, vous le reconnaitrez accroupis, à droite de la photo.
Avec l’arrivée de Pierre-Marie – Docteur Pytel – notre communauté de souvenirs entre de plein pied dans l’International.
En effet, Pierre-Marie est un citoyen français. Du temps où il venait à Comblain-la-Tour, il habitait déjà en France … à 3 mètres de la frontière. Son voisin d’en face, habitait en Belgique. Mais nous n’allons pas chipoter pour 3 mètres. Nous sommes donc devenus un groupe International. J’espère que son frère Bernard, ancien de Comblain et du KSMP de Mons nous rejoindra bientôt.
Halina Ogonowski et son mari André Cornut : Ancienne de Comblain et anciens du KSMP de Ressaix. Photo 66. Halina est la grande sœur de Dominique et Eveline Ogonowski.
Jola Blazejczyk : ancienne de Comblain et … toujours présente. Jola travaille toujours en cuisine à Comblain-la-Tour depuis … 35 ans ! Ca veut dire que si vous étiez de la génération qui a fréquenté la colonie dans les années 1980, elle était déjà aux cuisines à l’époque. Il convient de féliciter pareille longévité. Bravo.
Je profite de l’occasion pour lancer un appel à tous ceux qui sont déjà sur Facebook – dans le groupe des « Anciens de Comblain » de Dominique – mais qui n’ont pas encore rejoint « officiellement » notre communauté.
Je vous rappelle que notre action se décline sur 2 aspects : « Facebook » et « mails / blog ».
Cette double activité a pour but de rassembler ceux qui ne jure que par Facebook et ceux qui préfèrent une autre approche.
Mais ce serait dommage que ces 2 groupes s’isolent. Donc, s’il vous plaît, signalez nous votre présence et votre intérêt en nous envoyant un petit mail à : jpdziewiacien@skynet.be ; vous verrez, ce n’est pas douloureux J.
3° ) Grand concours « Wanted » : réservé exclusivement aux filles :
La photo 67 représente 4 beaux garçons … en tenu légère. Les reconnaissez-vous ?
Vous pouvez faire appel à un ami.
Je vous donne un indice : ils étaient, à l’époque, plus minces qu’aujourd’hui.
La réponse, c’est pour la semaine prochaine.
Nous recherchons, pour le même genre de concours, mais réservé exclusivement aux garçons, le même genre de photo mais avec des filles. Attention, il faut le même nombre, la même pose et la même tenue.
Et n’essayez pas de nous refiler des photos où vous êtes de dos.
27/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0065 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1967 devant le perron : Debout : Pierre Front ; Richard Konarski ; Accroupis ; Jean-Pierre Dziewiacien ; ( ? ) ; Pierre-Marie Pytel0066 : KSMP de Ressaix – 197 ? : André Cornut ; Halina Ogonowski0067 : COMBLAIN-LA-TOUR – Czesiu Kucharzewski ; Richard Konarski ; Freddy Fiutowski ; Georges Bardo
Je vais peut-être vous étonner, mais Pan Jan n’est pas né à Comblain-la-Tour. Eh, non.
Je sais, ça paraît étrange. Pour nous, il était toujours là. Que nous arrivions ou que nous repartions, Pan Jan, lui, ne bougeait pas. Il était là à demeure. Au point qu’on pouvait penser que nous allions en vacances chez lui. Son histoire personnelle a commencé bien avant Comblain.
Il est né en Pologne, en 1912, et comme tous les autres émigrés polonais, il est devenu mineur dans un charbonnage du Borinage. Comme tous ses congénères, il était logé dans des habitations de « fortunes » construites à la hâte sur les terres poussiéreuses des terrils à Flénu.
Si vous avez envie de connaître les conditions de vie ( de survie ) des émigrés de l’époque, je vous engage à visionner l’excellent film de Paul MEYER : « Déjà s’envole la fleur maigre », tourné fin des années 1950 dans le Borinage. Ce chef-d’œuvre cinématographique est considéré par les connaisseurs comme un des plus beaux films du XX siècle.
Je ne vous parle pas de ce film par hasard. En effet, Pan Jan a participé à ce tournage.
La trame de cette histoire se résume à décrire une journée de la vie des émigrants italiens dans une colonie multiculturelle. Mais une scène importante est consacrée aux polonais. Leur convivialité et leur sens de la fête témoignent de leur capacité à se redresser malgré l’adversité.
Pan Jan – de son vrai nom Jan SMOLAG – joue le rôle du joyeux luron qui « arrose » ses compagnons dans la plus belle tradition de l’hospitalité polonaise. Ce n’est sans doute pas un hasard si ce grand gaillard a retenu l’attention du réalisateur. En plus, il avait un « physique ».
Ce film, si important soit-il, n’a été qu’un intermède dans la vie de Jan, évidemment.
Son ordinaire, c’était plutôt le charbonnage, descendre « au fond », jour après jour, et la cantine que ses compagnons finissaient par quitter pour fonder des foyers. Lui n’a pas eu cette chance. Il n’a pas rencontré l’amour et n’a pas trouvé sa place.
Aussi, dès le début des années 60, quand les charbonnages se sont mis à fermer, les uns après les autres, et les cantines aussi, il s’est retrouvé bien seul et sans avenir. Heureusement pour lui, c’est précisément à cette époque que la Communauté polonaise – qui commençait à s’organiser – s’est mise en quête de trouver un endroit où elle pouvait espérer offrir un petit paradis à ses enfants.
Nous étions alors tous parqués dans des corons et des cités bâties aux abords des mines. Aucun d’entre nous n’avait les moyens de voyager ou de partir en vacances. C’est dans ce contexte qu’une poignée de courageux s’est mis en tête d’organier des vacances aux enfants des mineurs. C’est ainsi que le site de Comblain-la-Tour a été déniché et que le rêve est devenu réalité.
Tout naturellement, Pan Jan a été sollicité pour devenir le premier concierge du lieu. Le fait d’être toujours célibataire – et prêt à relever tous les défis – lui a sans doute permis de vivre ce nouvel exil plus facilement. S’il a laissé dans le Borinage tous ses amis, il en a gagné des milliers d’autres à Comblain.
Pour nous, les enfants de mineurs polonais, nés dans les années 50, 60 et 70, la maison polonaise de Comblain-la-Tour est très vite devenue le paradis. Pour la plupart d’entre nous, nous n’avons jamais connu d’autres vacances que celles-là. Nous n’en n’aurions pas voulu d’autres. Comblain, c’était la récompense… le saint Graal. Nous attendions toute l’année le bonheur de se retrouver dans le parc et de retrouver les autres enfants des autres régions.
Toute la Communauté Polonaise se retrouvait réunie là. Il y avait des gosses des régions de Liège, de Charleroi, de Mons, du Centre, du Limbourg,… Il faut dire que partout où il y avait des charbonnages, il y avait des polonais pour y travailler… et des enfants.
Pan Jan est très vite devenu l’indispensable. C’est son sourire qui nous accueillait, qui nous souhaitait la bienvenue « chez nous ». On l’enviait d’être « toujours en vacances » ; on lui était reconnaissant d’entretenir « notre » paradis ; on lui vouait un respect inconditionnel. Il est devenu une icône. C’était le gardien du temple.
Entre 1960 et 1980, des milliers d’enfants, venus des quatre coins de la Belgique, d’Allemagne, de Grande-Bretagne, de Pologne et d’ailleurs, se sont mélangés dans un esprit de communion et de fraternité.
Pour ceux qui venaient de l’étranger, Comblain-la-Tour c’était la seule chose qu’ils connaissaient de la Belgique… peut-être la seule chose qu’ils retiendront de leurs vacances d’adolescent et Pan Jan, c’était… l’ambassadeur.
Des milliers de cartes postales ont été envoyées à travers l’Europe qui représentaient la maison polonaise avec en avant plan Pan Jan. Il était devenu indissociable du reste : Comblain / la maison / le parc / l’Ourthe / le rocher de la vierge / et… Pan Jan.
Ceci explique que tant d’années après sa mort ( le 16/09/1981 ), il est toujours présent dans nos souvenirs et dans nos cœurs. Pan Jan n’a pas eu d’enfants, de descendants, d’héritiers, mais nous sommes des milliers à revendiquer une certaine filiation… celle du cœur.
C’est justement parce qu’il n’a pas de successeur, de personne qui puisse veiller sur sa mémoire, qu’il est important de ne pas l’oublier. Ce n’est pas seulement Pan Jan qui est enterré derrière l’église de Comblain, c’est aussi une partie de notre âme polonaise et une partie de notre âme d’adolescent qui repose près de lui.
À présent, trente ans après sa mort, l’administration communale d’Hamoir considère que la tombe de Pan Jan est « laissée à l’abandon »… C’est vrai que Comblain ce n’est pas tout près et qu’aller là-bas juste pour déposer des fleurs, faut être motivé. Mais ce n’est pas une raison pour croire que nous l’avons abandonné.
Les pierres tombales, avec le temps, se sont un peu écartées. Aucune n’est cassée, juste un peu écartée.
Il ne faudrait pas grand-chose pour corriger le défaut et rendre à Pan Jan un dernier hommage bien mérité.
27/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0058 : COMBLAIN-LA-TOUR – carte postale : Pan Jan0059 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1962 – Les pionniers : ( ? ) ; Pan Jan ; Dr Wilczek ; ( ? ) ; ( ? ) ; Accroupis ( ? ) ; ( ? ) ; Mr Léon Czak0060 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1964 – Les pionniers : Pan Jan ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ) ; Mr Joseph Rzemieniewski ; ( ? )0061 : BORINAGE – dans les années 1950 – Extrait du film de Paul Meyer : « Déjà s’envole la fleur maigre » : Pan Jan et Kozlowski Kazimierz0062 : BORINAGE – dans les années 1950 – Extrait du film de Paul Meyer : « Déjà s’envole la fleur maigre » : Pan Jan et Kozlowski Kazimierz
0063 : BORINAGE – dans les années 1950 – Extrait du film de Paul Meyer : « Déjà s’envole la fleur maigre » : Pan Jan et Kozlowski Kazimierz
0064 : BORINAGE – dans les années 1950 – Extrait du film de Paul Meyer : « Déjà s’envole la fleur maigre » : Pan Jan et Kozlowski Kazimierz
Lorsqu’on envisageait une excursion à Hamoir, il fallait prévoir qu’on allait rater au moins un repas.
En effet, la balade comptait 12 Km et la partie à travers bois nécessitait un certain effort physique.
Du coup, la halte sur place à Hamoir, se prolongeait. D’autant plus, qu’il y avait là, aussi, un « Café des Sports ». Donc la veille, on allait chez les cuisinières et on demandait un lunch pack pour tous les courageux qui s’en allait si loin.
L’itinéraire se composait d’une boucle qu’on pouvait suivre, soit dans le sens horlogique – c’est-à-dire par les bois pour commencer – soit dans le sens antihorlogique – en commençant par suivre l’Ourthe.
Une troisième possibilité consistait à longer la route nationale Comblain / Hamoir et faire du… stop.
Cette dernière était, évidemment, rigoureusement interdite. Mais quand vous êtes le moniteur d’une bande d’insoumis, qui ont ± votre âge, qui sont vos amis de toujours, qui partagent vos propres dérives depuis des années,… c’est très compliqué de les empêcher de faire du stop.
Il m’est donc arrivé de marcher jusqu’Hamoir, tout seul, pour rejoindre mon groupe… au café de Sport !
Ceci dit, que ce soit par le bois, ou au bord de l’Ourthe, la promenade en vaut la peine.
L’Office du Tourisme de Hamoir l’a remis au goût du jour. Des cartes sont éditées et en vente pour ceux qui se sentent encore suffisamment courageux. Honnêtement, Eveline et moi, nous l’avons tentée l’année dernière ( 2014 ), sans entraînement, et c’est très agréable.
Bien sûr, il faut faire des haltes. Je vous conseille de faire la première chez Mr et Mme Wen. C’est la petite supérette juste après le pont de Comblain. On peut y boire un verre pour se donner du courage et prendre des munitions pour la route. Le couple qui tient l’établissement est vraiment charmant et accueillant. Pour ceux qui ont encore un peu soif, le circuit passe tout près du Camping de la Vierge. Prenez néanmoins vos précautions, Mesdames, les possibilités de se soulager ne sont pas nombreuses.
La randonnée serpente en remontant la rivière. C’est de toute beauté. Les souvenirs et l’émotion qui va « avec » sont garantis. On passe derrière l’usine d’Hamoir. Anciennement, c’était la chocolaterie Nestlé ; certains d’entre vous s’en souviennent sûrement. Nous allions la visiter avec la colonie. Aujourd’hui, c’est Belourthe, un fabricant de céréales dont le directeur a remporté le prix du meilleur Manager de l’année.
Et déjà le centre du village apparaît. Un estaminet vous y attend : le Clapotis ( Quai du Batty ). C’est l’occasion de reprendre des forces, le retour est plus physique.
Ca commence doucement. On passe au-dessus du pont d’Hamoir, et puis on longe la rivière en suivant le courant. À un moment donné, il faut quitter l’Ourthe et se résigner à grimper vers Xhignesse. Nous le faisions en courant ; à présent, ce sera en « soufflant ». La petite église Saint-Pierre de Xhignesse est classée Patrimoine majeur de Wallonie, mais actuellement en travaux. Ensuite le sentier s’enfonce dans les bois.
Rassurez-vous, la commune a renouvelé le balisage. Vous ne risquez pas de vous perdre.
Vous apprécierez la fraîcheur du bois. Évitez quand même les talons aiguilles.
Pour finir, le sentier redescend vers la source, « Notre source ». Comptez 1 heure et demie pour aller et la même chose pour le retour. Sans forcer.
Et si nous allions ensemble ? Chiche ?
27/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0051 : COMBLAIN-LA-TOUR – HAMOIR : Circuit le long de l’Ourthe0052 : COMBLAIN-LA-TOUR – HAMOIR : Circuit le long de l’Ourthe0053 : COMBLAIN-LA-TOUR – HAMOIR : Circuit le long de l’Ourthe0054 : COMBLAIN-LA-TOUR – HAMOIR : Circuit le long de l’Ourthe0055 : COMBLAIN-LA-TOUR – HAMOIR : Circuit le long de l’Ourthe0056 : XHIGNESSE – Eglise Saint-Pierre – classée Patrimoine majeur de Wallonie0057 : – XHIGNESSE – Panorama
Un grand classique des promenades, c’était COMBLAIN-AU-PONT.
Tous les jeudis matin, tous les groupes de la colonie se rendaient au marché de Comblain-au-Pont.
L’air de rien, entre les 2 villages, il y a une fameuse trotte et la route qui les relie était, déjà à l’époque, dangereuse. C’est donc en file indienne, encadré par les moniteurs et avec un maximum de vigilance que tout ce petit monde s’en allait « faire son marché ». Aujourd’hui encore, après tant d’années, le marché existe toujours.
Une fois arrivé sur place, c’était programme libre. Les filles en profitaient ( déjà ) pour faire des achats, les garçons, pour boire un verre. Les plus courageux remontaient vers la Tour Saint-Martin. De là, le site offrait une vue splendide sur tout le village, jusqu’au confluent de l’Ourthe et de l’Amblève.
Le point de ralliement pour le retour, c’était sur les escaliers, au pied de l’église – photo 47.
Une fois que tout le monde était rassemblé, la longue file indienne s’en retournait vers Comblain-la-Tour.
Bien souvent, ce sont les filles qui avaient acheté des oranges, des pastèques,… et ce sont les garçons qui les transportaient.
J’avoue que ce n’était pas seulement par sens du sacrifice. D’autres considérations « techniques » rentraient en ligne de compte ; celui qui se chargeait du fardeau, méritait « au moins », sa part de fruits, et « au mieux », la considération de la fille. Et plus si affinité.
Un autre itinéraire existait pour rejoindre le marché : par en haut, en passant par le hameau de Géromont.
Cet itinéraire a été régulièrement utilisé au début. Plus tard, il a été délaissé, car pas très pratique.
Il fallait d’abord monter sur la colline qui surplombe l’Ourthe et puis redescendre, mais surtout traverser des zones où les anciennes carrières avaient laissé des milliers de cailloux. Le sentier devenait difficilement praticable. Les filles n’aimaient pas trop passer par là. Leurs sandalettes légères ne supportaient pas bien pareilles conditions de marche. Et quand les filles ne veulent pas…
Sur la photo 48, un groupe pose avant de quitter le marché et repartir pour la colonie.
Vous reconnaîtrez : Danielle Konarski ; Christine Konarski ; Marek Bujanowski ; Jean-Pierre Dziewiacien. Aidez-nous à retrouver le nom des autres.
Nous n’allions pas seulement à Comblain-au-Pont pour le marché…
Quand il faisait très chaud, et que les moyens financiers le permettaient, nous allions visiter la grotte de l’Abîme. C’était l’idéal pour se rafraîchir. L’expédition nécessitait d’avoir plus de temps et d’être préparée.
Il fallait absolument que les enfants emportent avec eux les pulls ou des vêtements chauds. Mais tous en repartaient fatigués, mais ravis.
Plus tard, dans les années 70 / 80, un bâtiment communal, à l’entrée de Comblain-au-Pont, a même abrité un musée du cycle. On pouvait y admirer une collection impressionnante de vélos et de motos.
Ce musée a malheureusement disparu.
Pour ceux que ça intéresse, le syndicat d’initiative travaille à mettre en valeur les différents aspects du village.
Ils ont développé un site très bien fichu. Voici le lien direct :
Vous y trouverez, entre-autre, des fiches promenades très intéressantes. La fiche n° 6 explique l’itinéraire qui passe précisément par le hameau de Géromont. Toutes sont téléchargeables gratuitement sur le site du syndicat d’initiative.
20/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0047 – COMBLAIN-AU-PONT – Place du Marché0048 – COMBLAIN-AU-PONT – Place du Marché : Lydie Gilson ; Jean-Pierre Dziewiacien ; Danielle Konarski ; Emilia Wawczyniak ; Marek Bujanowski ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ) ; Christiane Konarski ; ( ? ).0049 – COMBLAIN-LA-TOUR – Groupe en promenade0050 – COMBLAIN-AU-PONT – Vue sur la Place du Marché à partir de la Tour Saint-Martin
« Zołądek piszczy, człowiek sie niszczy Kuku, kuku, jesc nam sie chce.
Kucharki mają, Ale nie dają Kuku, kuku, jesc nam sie chce ».
Quand nous revenions de promenade, crevés et affamés, nous allions faire la sérénade aux cuisinières.
« Kuku, kuku, jesc nam sie chce »
Elles, d’habitude si modestes et effacées, devenaient d’un seul coup le centre de toutes les préoccupations.
Elles souriaient à nous voir mimer la déshydratation et l’inanition. Mais l’heure, c’est l’heure, et avant l’heure, c’est trop tôt. Il fallait patienter. Quand nous insistions un peu, elles finissaient par avoir pitié de nous.
Il n’était pas rare, qu’après le repas, au lieu d’aller se reposer, l’une ou l’autre, vienne nous aider à la vaisselle.
Alors que la vaisselle, ce n’était pas leur boulot, mais bien le nôtre.
C’était d’ailleurs l’une des corvées dont chaque groupe – chacun à son tour – devait s’acquitter.
La vaisselle pour les uns, ramasser les papiers dans le parc, pour les autres. Il me semble qu’il y avait encore d’autres corvées ?
Tout au long de ces années, des dizaines de cuisinières se sont succédé. C’était parfois les mamans des enfants de la colonie, parfois les grand-mères. D’autres n’avaient aucun enfants présents, mais venaient renforcer le staff. Il faut dire que le travail ne manquait pas. Nourrir toute cette communauté, offrir quatre repas par jour, en essayant de varier l’alimentation, relève d’une fameuse organisation. Elles étaient épaulées par des hommes qui souvent s’occupaient des tâches « moins nobles » : éplucher les patates ( n’était-ce pas aussi parfois une de nos corvées ? ), porter les marmites, etc …
Elles méritent toutes, et les messieurs aussi, notre reconnaissance éternelle. Sans elles … pas de vacances à Comblain.
Regardez ces photos. Vous les reconnaissez ? Pas toutes évidemment. Mais tous ces visages vous semblent familiers. C’est normal.
Je vous propose qu’on essaie, ensemble, de mettre un nom sur chacun de ces visages. Elles ont largement mérité de passer à la postérité et de rejoindre, définitivement, le panthéon de nos souvenirs les plus agréables.
La première qu’il convient de citer, c’est Madame Załobek, la grand-mère de Francine et de Georges.
Elle a été LA première, celle qui est restée LE plus longtemps, et certainement aussi LA plus âgée.
C’est donc tout à fait normal qu’elle apparaisse aussi souvent sur les photos.
Elle était infatigable, inlassable et … inoxydable. Malgré son âge, c’est souvent elle qui boostait les autres quand des moments de lassitude se faisaient ressentir.
Tout le monde la respectait ; il faut dire qu’elle avait l’âme d’un général. D’ailleurs quand on parlait d’elle, on disait « La Załobkowa », comme on dit « La Callas » ou la « Maillan ». La nôtre se prénommait Weronika.
Vous souvenez-vous de son émotion quand, au retour d’un marché de Comblain-au-Pont, Francine lui avait acheté des fleurs et que, tous ensemble, nous lui avions chanté, dans le hall, « Sto Lat » pour son anniversaire ?
C’était un 8 juillet. Elle n’avait pas 100 ans, même si elle n’en n’était pas loin ; elle est née le 08 juillet 1901.
Pour la petite histoire, les cuisinières qui ont travaillé avec elle, racontaient qu’elle utilisait toutes les ressources possibles, des feuilles aux racines de légumes. Elle faisait des merveilles de tout ce qui était comestible.
Le gaspillage n’était pas de mise à l’époque déjà.
Francine, qui m’a aidé à écrire ces quelques lignes, et que je remercie au passage, disait craindre un peu sa grand-mère. Comme elle avait beaucoup de travail, Francine avait pour consigne de ne pas trop la déranger et de lui laisser ses rares moments de répit. Alors que pour beaucoup d’autres enfants, elle était adorable !
Elle a fini par choper la maladie d’Alzheimer ( la grand-mère, pas Francine … pas encore ). Elle réveillait sa petite fille, à 2 heures du matin pour faire les valises et partir à Paris. Comblain devait lui manquer !
Elle est décédée le 17 janvier 1974. MERCI MADAME.
Francine et Georges ont sans doute beaucoup à dire sur leur grand-mère. Je les encourage à nous évoquer cette « super-mamy » si courageuse.
Pour les autres, s’il vous plaît, aidez-nous à retrouver leurs noms.
Sur la photo 40 : ( ? ) ; Mme Bernadette Ogonowski ( la maman de Dominique et Eveline ) ; ( ? ) ; Mme Załobek ( la grand-mère de Francine et Georges ) ; à l’arrière : Mr ( ? ).
Sur la photo 43 : Assises : Mme Bujanowski ( l’épouse de Franek Bujanowski ) – Mme Martha Dziewiacien – Mme Bernadette Ogonowski – Andrei Makarov.
Debout : Mr Franek Front ( le papa de Pierre Front ) – ( ??? ) – Mme Bardo.
Sur la photo 44 : Pan Jan ; Mme Bardo ; Mr Léon Warchulski ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ) ; Mr Franek Bujanowski ; ( ? ).
Sur la photo 45 : Mr Franek Bujanowski ; Mr Markiewicz ; Pan Jan ; Mr Léon Warchulski ; Mr Zbigniew Matusiewicz ; ( ? ) ; debout derrière : ( ? ).
Sur la photo 46 : Ks ( ? ) ; Mme Bardo ; ( ? ) ; ( ? ) ; Mme Anna Dudziak ; Pan Jan ; Mr Franek Bujanowski ; Mme Martha Dziewiacien ; ( ? ) ( l’oncle de Géniu Bujanowski ; Mr Léon Warchulski ; ( ? ) ; ( ? ).
0040 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières : ( ? ) ; Mme Bernadette Ogonowski ( la maman de Dominique et Eveline ) ; ( ? ) ; Mme Załobek ( la grand-mère de Francine et Georges ) ; à l’arrière : Mr ( ? )0041 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières : ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? )0042 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières et l’intendance : ( ? ) ; Mme Martha Dziewiacien ( ma maman ) ; ( ? ) ; Mr Szczepanski ; Mme Załobek ; ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ).0043 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières et l’intendance : Assises : Mme Bujanowski ( l’épouse de Franek Bujanowski ) – Mme Martha Dziewiacien – Mme Bernadette Ogonowski – Andrei Makarov ; Debout : Mr Franek Front ( le papa de Pierre Front ) – ( ??? ) – Mme Bardo0044 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières et l’intendance : Pan Jan ; Mme Bardo ; Mr Léon Warchulski ; Mr Stepien ; ( ? ) ; ( ? ) ; Mr Franek Bujanowski ; ( ? )0045 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières et l’intendance : Mr Franek Bujanowski ; Mr Markiewicz ; Pan Jan ; Mr Léon Warchulski ; Mr Zbigniew Matusiewicz ; ( ? ) ; debout derrière : ( ? )0046 – COMBLAIN-LA-TOUR – Les cuisinières et l’intendance : Ks Kiek ; Mme Bardo ; ( ? ) ; ( ? ) ; Mme Anna Dudziak ; Pan Jan ; Mr Franek Bujanowski ; Mme Martha Dziewiacien ; ( ? ) ( l’oncle de Géniu Bujanowski ; Mr Léon Warchulski ; ( ? ) ; ( ? )
Cette semaine, 3 nouveaux membres ont rejoint notre petit groupe.
Il s’agit de :
1° Marie-Françoise FIUTOWSKI : Ancienne de Comblain et du KSMP de Mons ( en 1969 ) – Photo 31.
Marie-Françoise est la sœur de Freddy FIUTOWSKI. Vous la reconnaîtrez sur la photo 32 : c’est la 5ème en partant de la gauche ( la blonde avec le serre tête blanc et 2 tresses ). La photo doit dater de ± 1963.
Elle a également participé au « KURZ MLODZIEZY » à LORETO en 1971.
2° Pascal LAGOCKI : Ancien de Comblain et du KSMP de Mons – Photo 33.
Pascal appartient à une famille qui s’est énormément investi pour la cause polonaise. Son papa, Henri LAGOCKI, a été le 2ème président du KSMP de Mons et n’a cessé d’œuvrer pour entretenir nos valeurs.
3° Sylvie MOTALA : Ancienne de Comblain et du KSMP de Mons.
Sylvie est la petite sœur de Freddy MOTALA.
* * *
Je profite de l’occasion, pour avoir une pensée émue envers tous les anciens de Comblain qui nous ont trop vite quittés.
– Freddy FIUTOWSKI, ancien de Comblain et du KSMP de Mons, est décédé en décembre 2003 ; à l’âge de 47 ans. Sur la photo 34, il est devant ( au centre ) à côté de Marek BUJANOWSKI.
Sa Grande sœur Marie-Françoise est derrière en tablier à carreaux.
Sur la photo 35, il pose à côté de Janek KONARSKI dans les bois de Comblain.
– Henri LAGOCKI, ancien de Comblain et du KSMP de Mons, est décédé le 06/09/2011.
Sur la photo 36, c’est celui qui se gratte le nez ; à sa droite, Zygmund MIELCAREK et Zdzislaw BLASZKA
– Freddy MOTALA, ancien de Comblain et du KSMP de Mons, est décédé en mars 1985.
La photo 37 le représente en plein pique-nique quelque part dans le parc à Comblain.
– Anne-Marie KANTYKA, ancienne de Comblain et du KSMP de Charleroi, est décédée le 17/03/2013.
Sur la photo 38 ( de 1980 ), elle est au deuxième rang, la deuxième à partir de la gauche. Son mari, Stanislaw MALEK, est juste derrière elle. Sur la même photo : Karine Kotarzewski ; Annick Majchrowski ; Cathy Cieslik : Christine Piech ; Dorotka Druszcz.
Nous aurions été tellement heureux qu’ils soient encore parmi nous.
13/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0031 – FIUTOWSKI Marie-Françoise0032 – COMBLAIN-LA-TOUR – 1963 : spectacle en costumes polonais : FIUTOWSKI Marie-Françoise ( 5ème en partant de la gauche – la blonde avec le serre tête blanc et 2 tresses )0033 – LAGOCKI Pascal0034 – Ecole polonaise : FIUTOWSKI Freddy ; BUJANOWSKI Marek ; FIUTOWSKI Marie-Françoise ; Mr KARASINSKI ; …..0035 – COMBLAIN-LA-TOUR – Quelque part dans les bois : FIUTOWSKI Freddy ; KONARSKI Janek0036 – COMBLAIN-LA-TOUR – Messe à l’extérieur, devant le perron : LAGOCKI Henri ; MIELCAREK Zygmund ; BLASZKA Zdzislaw ; ….. – Collection : Blaszka Zdzisław0037 COMBLAIN-LA-TOUR – Pique-nique dans le parc : MOTALA Freddy0038 – KSMP de Charleroi – 1980 : Karine Kotarzewski ; Malek Stanisław ; Kantyka Anne-Marie ; Annick Majchrowski ; Cathy Cieslik ; Christine Piech ; Dorotka Druszcz.0039 – COMBLAIN-LA-TOUR – 1963 : spectacle en costumes polonais
L’activité principale des participants aux colonies de vacances de Comblain-la-Tour, c’est… « promenade ».
Ks Kurzawa voulait que les enfants soient – le plus souvent possible – dans la nature.
Donc, trois fois par jour, nous partions à l’aventure.
Les promenades du matin étaient souvent les plus longues. Il faut dire qu’après une bonne nuit de sommeil, les gosses avaient besoin de se défouler. Après la sieste, la sortie était plus modérée ; nous disposions de moins de temps. La dernière balade de la journée, avait surtout pour but de fatiguer les plus « remuants » et de les préparer ainsi à un sommeil réparateur.
Les moniteurs et monitrices, que nous étions, se souviennent de ce petit fascicule qui nous permettait d’organiser nos déplacements tout autour de Comblain. On y retrouve les noms de villages, ou de lieux dits, qui résonnent encore dans nos cœurs : Hamoir, Comblinay, Xhoris et Xhignesse ( à prononcer avec un « x » muet ), Fairon,… Une petite carte ( document 25 ) illustrait, de manière succincte, les différentes propositions de promenades. Chaque itinéraire y était numéroté et renvoyait à des descriptions plus larges ( exemples les documents 26 et 27 ).
Les parcours étaient ainsi décrits en détail. Le nombre de kilomètres permettait de savoir si l’excursion devait s’envisager plutôt au matin ou à un autre moment de la journée. Des précisions concernant les chemins à suivre limitaient les erreurs de parcours. Même si, de temps en temps, il arrivait qu’un groupe se perde dans la nature.
Des annotations plus « touristiques » permettaient, d’apprécier là un paysage remarquable, là d’apprendre quelques détails sur le bâtiment ou le château qui se trouvait sur notre route.
Parfois, des variantes étaient proposées pour permettre de découvrir encore plus.
Qui ne se souvient pas du château de Fanson ? ( photo 28 )
La photo 29 montre un groupe de filles, fières d’être arrivées jusqu’au Château et qui posent devant l’édifice.
Vous reconnaîtrez aisément :
( ? ) ; Patricia Moury ; Danielle Konarski ; ( tiens un garçon ! ) ; Thérèse Dudziak ; Christiane Konarski ; Jeanine Dudziak ; Patricia Młynarski ( ? ) et au premier plan, accroupies : Bernadette Bierczyk et ( ? ).
Cherchez l’intrus ! ! !
Bon, c’est vrai… de temps en temps… il arrivait qu’un ou l’autre… par inadvertance… ou par étourderie… suive un groupe qui n’était pas le sien.
Tous les fascicules, tous les plans, toutes les cartes et toutes les descriptions d’itinéraires n’empêchaient pas – et n’empêcheront jamais – qu’un garçon « s’égare » et se retrouve « accidentellement » au milieu d’un groupe de fille…
Le cœur a des raisons dont la raison ignore souvent la complication.
Je suis sûr que, vous aussi, vous avez connu des « égarements ». Racontez-nous nous, ça. Ça nous intéresse.
N’hésitez pas… lâchez-vous… on est entre amis.
13/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0025 – Fascicule pour organiser les promenades – Carte et détails0026 – Fascicule pour organiser les promenades – Carte et détails0027 – Fascicule pour organiser les promenades – Carte et détails0028 – FANSON – Château de Fanson – Itinéraire n° 2 – 12 Km0029 – FANSON – Château de Fanson – groupe de filles : ( ? ) ; MOURY Patricia ; KONARSKI Danielle ; DZIEWIACIEN Jean-Pierre ; DUDZIAK Thérèse ; KONARSKI Christiane ; DUDZIAK Jeanine ; MLYNARSKI Patricia ; ( ? ) ; Au premier plan, accroupies : BIERCZYK Bernadette ; ( ? )0030 – Groupe en promenade
Les photos de groupe sur escaliers, c’est une tradition à Comblain-la-Tour.
Il faut dire que les équipements s’y prêtent bien ; il y a des escaliers devant comme derrière, et du haut de ces gradins, tout le monde a une chance d’être vu. C’est sans doute pour cette raison, qu’on y avait droit à chaque « turnus ». Normalement, ça devrait être facile d’en retrouver un certain nombre. En voici déjà trois.
L’avantage de ce genre de photos, c’est qu’elles représentent bien le grand nombre de participants.
Nul ne pourra plus affirmer que les colonies, à l’époque, n’attiraient pas grand monde. Au contraire, on s’y entassait.
L’inconvénient, c’est qu’elles sont prises de loin et souvent on a du mal à reconnaître les figurants.
Mais le but n’est pas toujours de reconnaître.
Ainsi la photo 22, représente la colonie installée sur l’escalier du côté rue. La grille d’entrée est entrouverte.
Le message est clair : « Regardez comme nous sommes nombreux ; regardez comme nous sommes heureux ; laissez-vous tenter ; venez nous rejoindre. » Cette photo a été imprimée à des milliers d’exemplaires sous forme de carte postale. Elle permettait aux enfants d’écrire aux parents, mais jouait également un rôle de publicité pour recruter de nouveaux participants.
Les Anciens de Comblain ont le même objectif : rassembler. Notre porte à nous est aussi grande ouverte.
C’est bien pour cela que nous voulions débuter ce tour d’horizon de nos souvenirs par cette photo.
La photo 23, est elle de très bonne qualité. On peut y reconnaître quelques figures familières.
À l’avant plan, accroupi, Zdisław Blazka. Il a été le premier moniteur et Chef moniteur de Comblain.
On aperçoit facilement Ks Kurzawa, Pani Bardo, Georges Bardo, Pan Jan et même, pour les plus anciens, un autre moniteur qui se prénommait Jurek. Pour le reste,… c’est beaucoup plus compliqué.
Les spécialistes reconnaîtront Eveline et Dominique Ogonowski et leur maman.
Pour les autres ? Je donne ma langue au chat. Mais je suis sûr que certains d’entre vous seront plus perspicaces. Alors, à vos loupes et faites travailler vos mémoires.
Si, en définitif, on ne reconnaît plus personne d’autre, ce n’est pas grave… nous aurons contribué à faire reculer la maladie d’Alzheimer. Et puis, comme disait Antoine de Saint-Exupéry : « Il y a plus de plaisir à poursuivre la vérité qu’à la rattraper ».
La photo 24, est plus récente, mais beaucoup plus floue. Sur la gauche, on peut néanmoins apercevoir Alexis Lagocki, Pierre Bartnik et ( plus difficilement ) Jean-Pierre Dziewiacien.
Avez-vous remarqué qu’au centre du groupe, une petite fille fait sa communion solennelle ?
Cet évènement est exceptionnel puisque fait en juillet et pas au mois de mai.
La petite fille venait, pour la circonstance, de Pologne.
En reconnaissez-vous d’autres ?
13/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0022 – COMBLAIN-LA-TOUR – Carte postale : groupe sur escalier, côté grillage d’entrée0023 – COMBLAIN-LA-TOUR – 1968 : groupe sur escalier du perron : BLAZKA Zdisław ; Ks KURZAWA ; Pani BARDO ; BARDO Georges; Pan Jan ; ( ? ) Jurek ; Mme OGONOWSKI ; Eveline et Dominique OGONOWSKI ; ………0024 – COMBLAIN-LA-TOUR – 197? : groupe sur escalier du perron : LAGOCKI Alexis ; BARTNIK Pierre ; DZIEWIACIEN Jean-Pierre ; ……..
1° ) Bonne nouvelle, cette semaine, 3 nouveaux membres ont rejoint notre « communauté de souvenirs ».
Il s’agit de :
– Martine Mazgaj : ancienne de Comblain et du KSMP de Mons.
Vous la reconnaîtrez sur la photo n° 10, et bravo Martine. Elle avait revêtu, ce samedi 4/7/2015, le costume qu’elle portait dans les années 70. Chapeau. Quant aux deux autres qui l’entourent sur la photo 11, il n’y a aucune chance qu’ils puissent encore rentrer dans des costumes de l’époque.
– Georges Załobek : ancien de Comblain et du KSMP de Liège et accessoirement petit frère de Francine.
Inutile de présenter Georges, tout le monde se rappelle de lui … et rien que des bons souvenirs.
Sur la photo 12, il est à l’extrême droite, en pull bleu, avec des lunettes.
– Et enfin, Raymond Mielcarek : Ancien de Comblain et du KSMP de Mons.
Il a été mon moniteur à plusieurs reprises et continue à être très actif dans les organisations polonaises.
Sur la photo 13, il est au centre. A sa gauche, c’est André Karasinski qui fait déjà partie de notre petit groupe, puisqu’il était présent à Comblain ce 21/6.
2° ) Un grand merci à Kazimierz MIKSIEWICZ qui a placé – sur le blog de « POLONIA SPK MONS BORINAGE » – un gentil commentaire sur nos retrouvailles à Comblain, de très belles photos et des vidéos sur l’ambiance qui y régnait.
Cela permettra, à ceux qui y était, de se remémorer notre rencontre et, à ceux qui n’y était pas, de nous reconnaître. Kazimierz est sur la photo 14, à l’extrême gauche, juste à côté de Robert du groupe Wisła.
3° ) Certains s’impatientent déjà de ne pas recevoir d’anciennes photos … Patience, elles vont arriver.
Il faut d’abord qu’on les reçoive, qu’on les rassemble et ensuite, on les partagera.
Je vous rappelle donc que nous attendons vos photos, vos commentaires, vos anecdotes, vos émotions, …
Et inutile d’être « gênés », n’oubliez pas que nous courrions ensemble, en culotte courte, et que nous avons tous vécu les mêmes aventures.
En attendant, voici encore quelques photos de ce dimanche 21 juin.
Merci d’avance.
06/07/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien
0010 – VILLE-POMMEROEUL – 04/07/2015 – BBQ chez les POTVIN : MAZGAJ Martine0011 – VILLE-POMMEROEUL – 04/07/2015 – BBQ chez les POTVIN : KUCHARZEWSKI Czesiu ; MAZGAJ Martine ; DZIEWIACIEN Jean-Pierre0012 – COMBLAIN-LA-TOUR : Piotr Rozenski ; Henri Zapałowski ; Michel Łagocki ; Richard Chwoszcz ; Georges Załobek ; sur l’arbre : Philippe Rouls0013 – COMBLAIN-LA-TOUR – ??/ ??/ ???? – Devant les balançoires : Les 2 moniteurs : MIELCAREK Raymond ; KARASINSKI André0014 – – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : MIKSIEWICZ Kazimierz ; Robert ( Wisła ) ; ( Wisła ) ; Mr ADAMIUK, Consul ; ( Wisła ) ; ??????? ; Mme WOJDA Barbara, présidente de PMSz0015 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : OGONOWSKI Dominique : OGONOWSKI Eveline ; ZALOBEK Francine0016 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : LATKOWSKI Janusz ; PIECH Christine ; Mme Czesia Stempniewicz ; PAJAK Michel0017 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : BLASZKA Zdzisław et son épouse ; MIKSIEWICZ Kazimierz ; Mme KOZLOWSKI ; FABJANCZYK Régine0018 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : FRONT Pierre ; PIECH Hélène0019 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : FRONT Pierre ; PIECH Hélène ; LATKOWSKI Janusz ; DZIEWIACIEN Jean-Pierre ; WARCHULINSKI André0020 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : Dîner dans le réfectoire0021 – COMBLAIN-LA-TOUR – 21/06/2015 – 1ère retrouvaille des Anciens de Comblain : Spectacle de l’ensemble Wisła