La Pologne a gagné …
La Belgique a gagné …
La Communauté polonaise de Belgique a gagné …
Comblain-la-Tour a gagné …
La petite histoire de l’immigration polonaise a gagné …
Mais aussi … l’amitié a gagné … la fraternité … l’unité … le partage … le folklore … ont gagné …
Notre mémoire collective a gagné …
Le Centre Millennium a gagné …
Les Anciens de Comblain ont gagné ! On a tous gagné !
Nous sommes tous qualifiés pour la suite … le week-end des retrouvailles à Comblain du 17 et 18 septembre 2016.
BRAVOOOOOOO – MERCIIIIIIIIII – A BIENTÔÔÔÔT.
27/06/2016 – Jean-Pierre Dziewiacien
0388 : COMBLAIN-LA-TOUR – 2016 : Les Anciens chez Mr Wen.0389 : COMBLAIN-LA-TOUR – 2016 : Majowka.0390 : COMBLAIN-LA-TOUR – 2016 : Spotkanie.0391 : COMBLAIN-LA-TOUR – 2016 : Wisla.0392 : COMBLAIN-LA-TOUR – 2016 : Betty Nowicki et Michel Pietka.
Ce message s’adresse à tous les garçons – tous les hommes – qui se sont dit : « Ma femme veut absolument aller à Comblain-la-Tour ce week-end pour la Majówka. Moi, je vais en profiter pour rester à la maison et … pour une fois … ne rien foutre … ».
Je sais, c’est tentant. Mais je me dois quand même de vous avertir … parmi toutes les personnes qui m’ont confirmé leur présence, ce dimanche, il y a tous les Don Juan, tous les Casanova, tous les charmeurs, tous les séducteurs que la colonie a connue depuis les années soixante … toute génération confondue.
Je ne vais pas citer les noms de ces Messieurs – pour ne pas éveiller fantasmes et confusions … Mais si j’étais vous … je réfléchirai à deux fois avant de laisser partir ma femme toute seule à Comblain …
Il y aura du « lourd » dans les allées du parc ce dimanche …
Alors, si vous étiez, comme moi, des laborieux, des persévérants, des « qui-pour-séduire-un-peu-devaient-s’investir-beaucoup », rappelez-vous : pour EUX c’était facile … EUX ne devaient pas faire beaucoup d’effort … Eux n’avaient qu’à se baisser pour ramasser. Alors, bien sûr, aujourd’hui, ils sont un peu moins boutonneux, moins chevelus, un peu plus bedonnants, plus ventrus, mais le potentiel reste là … et les regrets si tenaces.
Ne prenez aucun risque … venez avec votre femme.
En plus – si je peux me permettre – toutes les jolies filles qui vous faisaient rêver – il y trente ans – seront là ! Ce serait bête de rater l’occasion de les revoir !
Elles aussi ont pris un peu de poids, un peu de rides et quelques cheveux gris. Même celle pour qui vous aviez un … léger penchant … en secret. Comment vous regardera-t-elle aujourd’hui ? C’est bien connu « les hommes prennent du charme en vieillissant » ; si j’étais vous …
Rappelez-vous ce que disait Jean Cocteau : « Le verbe aimer est si difficile à conjuguer : son passé n’était pas simple, son présent n’est qu’indicatif, et son futur sera toujours conditionnel ».
Mais non, ne craignez rien … je vous charrie … c’est juste pour rire … il y a tellement d’eau qui a déjà coulé depuis sous le pont de Comblain-la-Tour que vous ne risquez rien … tout au plus une émotion, une larme, un frisson … un trouble … mais, à nos âges, c’est toujours ça de gagné !
Alors juste pour le plaisir … venez « avec » … à dimanche.
20/06/2016 – Jean-Pierre Dziewiacien
0383 : COMBLAIN-LA-TOUR : Sur le terrain de volley : Zdzisław Blaszka ; ( ? ) ; André Karasiński ; ( ? ) caché par Monsieur Rzeznik ; Richard Materna ( ou son plus jeune frère ? ) ; Didier Chmielecki ; Henryk Kurek, le frère du gestionnaire actuel. ( collection Zdzisław Blaszka ).0384 : COMBLAIN-LA-TOUR : Entre la maison et l’Ourthe : Accroupis : Stéphanie Goch ; Helena Garsztka ; Jolanta Lewandowska ; Alice Bardo ; Debout : Pani Bardo ; André Karasiński ; Raymond Mielcarek ; Wiesław Król ; Henryk Kurek ; ( ? ) ; Didier Chmielecki ; Richard Materna ; Zdzisław Blaszka ; Monsieur Rzeznik. ( collection Zdzisław Blaszka ).0385 : COMBLAIN-LA-TOUR : Cours de moniteurs : Debout : Malvina Rusowicz ; Georges Persich ; Dominique Ogonowski ; Henri Szulcz ; Eveline Ogonowski ; Marek Bujanowski. Assis par terre : Vital Kciuk ; Henry Bogdanski.0386 : COMBLAIN-LA-TOUR : Chorale boraine lors d’un ognisko : Isabella Cosaro ; Zuhal Gunal ; Annick Skopp ; Christiane Nahorniak ; Géniu Bujanowski ; Alexis Łagocki ; Michel Mikołaczyk.0387 : COMBLAIN-LA-TOUR : Dans le parc : Richard Chwoszcz ; Piotr Rozenski ; Henri Zapałowski ; Pascal Łagocki ; Georges Załobek ; Philippe Rouls.
« Pour moi, notre Comblain, c’est le plus beau village
Le plus beau village qu’on puisse rencontrer
Tout autour de nous.
Nulle part vous ne trouverez plus fraîches jeunes filles
Plus vigoureux jeunes gens, ni plus éveillés.
La joie est semée sur tous les villages
Là où on aime rire, se plaire et chanter. »
Ce n’est pas moi qui aie écrit ces quelques lignes … c’est un poète natif de Comblain-la-Tour : Joseph Huberty. Et ce n’est pas moi, non plus, qui dirais le contraire.
Il avait raison, ce brave Joseph, nulle part ailleurs il n’y avait d’aussi belles filles qu’à Comblain.
Et encore … Huberty est décédé en 1957, c’est-à-dire à peine quelques années avant l’arrivée, à la colonie, des belles polonaises. Je suis sûr qu’il serait, lui aussi, tombé sous votre charme. Lui, le chantre de Comblain, il aurait trouvé les mots – dans son patois local – pour sublimer votre fraîcheur, Mesdemoiselles.
Mais ne cherchez pas, Mesdames … il n’y a aucune photo de vous, dans cet article.
Si j’avais dû y mettre les plus belles … vous y seriez toutes. Et … il n’y aurait pas eu assez de place. Vous étiez toutes plus belles les unes que les autres. Et comme je refuse d’exclure même une seule d’entre vous … j’ai préféré illustrer par des photos du village.
Joseph Huberty était amoureux de son village. Il n’est pas le seul.
Il pensait que la beauté d’un endroit est le reflet des beautés qu’on y rencontre. Il avait raison. Si le décor nous paraissait si exceptionnel, à l’époque, c’est sans doute parce que vous en faisiez partie. Si aujourd’hui, j’ai tellement envie de revisiter Comblain, c’est peut-être pour vous retrouver.
En tout cas, j’espère que vous sera là ce dimanche … et je ne suis pas le seul à l’espérer.
Ah, oui, encore une petite chose … j’ai utilisé l’imparfait depuis le début de ce texte … mais c’était juste pour vous embêter … pour vous énerver … en réalité, vous êtes toujours très belles … à dimanche !
20/06/20016 – Jean-Pierre Dziewiacien
Nosse Comblain ( Sur l’air du « Temps des cerises » de Jean-Baptiste Clément )
Por mi nosse Comblain, c’est l’pus bê viyèdje
Li pus bê viyèdje qu’on pôye rescontrer
Tot- åtou d’nos ôtes
Nole på vos n’trouv’rez pus frissès crapôdes
Plus vigreûs djônes, ni plus dispiertés
Li djôye est K’sèmêye so tos les vizèdjes
Wicse qu’on inme dè rire, di s’plêre, dè tchanter.
Por mi nosse Comblain, c’est l’pus bê viyèdje
Avou s’clére êwe d’Oûte, si p’tit ry d’Boé
Ses tiérs, ses hadrènes
Po nos aksègni l’grandeûr di l’Ardène
N’s’avans l’Heid Quisson, l’Tchirmont, l’Nid Blanc Heid
Dji n’a måy vèyou d’vins tos mes voyèdjes
On pus bê côp d’oûy qui nosse hôt rocher
Por mi nosse Comblain, c’est l’pus bê viyèdje
Onk dès pus påhûles qui seûye dimoré
Awå l’Walonerèye
Les djins à l’bone môde vikèt sins fåstrèye
Brognant lès grandeûrs comme les mêtchancetés
Et nos p’tits scolis d’vins tos leûs messèdjes
Crohet co l’walon tot rempli d’firté
Por mi nosse Comblain, c’est l’pus bê viyèdje
Avou sès manires dè bon timps passé
Sès vilès d’morances
Et qwand c’est qu’dji r’veû divins mes r’mimbrances
Li toûr qui s’dressîve dizeus nosse cité
I m’sonle vèy riv’ni tot nosse parintèdje
Qui r’pwèse bin påhule ås pîds d’nos åtés.
Joseph HUBERTY ( 1886 – 1957 )
0376 : COMBLAIN-LA-TOUR : Panorama.0377 : COMBLAIN-LA-TOUR : Panorama.0378 : COMBLAIN-LA-TOUR : Panorama.0379 : COMBLAIN-LA-TOUR : Panorama.0380 : COMBLAIN-LA-TOUR : Panorama.0381 : COMBLAIN-LA-TOUR : Panorama.0382 : COMBLAIN-LA-TOUR : Place du Wez : Plaque commémorative consacrée à Joseph Huberty sur la maison où il est né.
L’intérieur de l’Hôtel du Parc est resté très riche ( 6 ).
La grande pièce qui donne sur le perron est devenue un petit salon ( photo 370 ). Quelques tables et quelques chaises permettent aux clients de s’installer pour fumer.
Le passe-plat qui donne accès directement à la cuisine est déjà présent. Nous l’avons utilisé constamment. J’ai l’impression aussi de reconnaître le lampadaire ; je me trompe peut-être.
Deux grands meubles rehaussent l’aspect cossu de la pièce : une vitrine et un dressoir. L’ensemble est fabriqué en bois noble et sculpté. Le dressoir est rehaussé par une plaque de marbre.
Sur la photo 371, les grands meubles sont restés les mêmes, mais les tables et les chaises sont différentes. Le style s’est démocratisé. On dirait maintenant une salle de jeu. D’ailleurs, une sorte de billard, posé devant la fenêtre, invite le client à jouer une partie.
La cheminée est splendide ; l’immense miroir qui règne au-dessus lui confère encore plus de majesté. L’horloge et les deux candélabres ajoutent une impression de richesse. Dans le reflet du miroir, on peut voir la vitrine située en face.
Des tableaux sont suspendus aux murs et les rideaux de la fenêtre complètent un décor sobre, mais élégant.
La porte grande ouverte, montre le réfectoire – sans doute qu’à l’époque, c’était « le restaurant ».
Dans le restaurant ( photos 372, 373, 374 et 375 ), les tables sont dressées pour le repas.
Les belles nappes blanches et les couverts élégants attestent du souci des propriétaires à tendre vers un certain raffinement. Le nombre d’assiettes rangées au milieu de la pièce semble indiquer que le restaurant attire de nombreux clients.
C’est difficile de jurer, mais il semble bien que la différence entre la photo 372 et la photo 373 soit la longueur du restaurant. En effet, sur 372, on ne voit que deux pilastres, et le fond du restaurant est assez proche. La photo pourrait dater d’avant le deuxième agrandissement du restaurant. Sur la 373, on voit que d’autres pilastres ont été ajoutés.
De plus, entre les trois fenêtres du fond et celles du début, il existe un espace qui, selon moi, indique l’endroit où la pièce a subi son agrandissement.
Les têtes de biches sur les pilastres me rappellent quelque chose. Pas vous ?
13/06/2016 – Jean-Pierre Dziewiacien ( merci à Piotr Rozenski pour son aide )
0370 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1948 : Intérieur de l’Hôtel du Parc.0371 : COMBLAIN-LA-TOUR : Intérieur de l’Hôtel du Parc.0372 : COMBLAIN-LA-TOUR : Intérieur de l’Hôtel du Parc.0373 : COMBLAIN-LA-TOUR : Intérieur de l’Hôtel du Parc.0374 : COMBLAIN-LA-TOUR : Intérieur de l’Hôtel du Parc.0375 : COMBLAIN-LA-TOUR : Intérieur de l’Hôtel du Parc.
Aujourd’hui c’est, pour moi, un jour un peu spécial …
Je m’excuse déjà de me mettre ainsi à la lumière et de prendre … toute la place dans le lit.
Je serai, sans doute, encore plus nostalgique que d’habitude …
Pardonnez-moi … mais aujourd’hui c’est, pour moi, un jour un peu spécial …
Hier ( avant-hier ? ), c’était le temps de l’enfance ( photos 65 ; 90 ).
Je courrais encore en culotte courte dans le parc de Comblain. Je m’y vois encore.
Mais je revois aussi – déjà – Ks Kurzawa qui m’appelle et qui m’explique qu’il a un énorme problème avec le groupe des petits allemands. Le moniteur est seul et débordé. Il n’en sort plus … « Et toi, Janek, tu n’as pas encore l’âge d’être sous-moniteur, mais tu fais preuve de tellement de maturité … j’ai tout de suite pensé à toi pour … blablabla ».
Je me suis fait avoir comme un enfant de chœur ( que j’étais par ailleurs ). J’ai laissé mes copains continuer à s’amuser et j’ai assumé. C’était la fin de l’enfance. Le début de la vanité ?
Les quinze derniers jours de la colonie, je les ai passés à balader des « un-peu-plus-jeunes-que-moi » avec qui je n’avais que 5 mots en allemand à échanger. Mais ce n’était pas le pire. Le pire, c’était cette odeur d’urine dans laquelle ma nouvelle chambre baignait ; j’ai mis très longtemps à me débarrasser de cette odeur. Merci encore pour la promotion …
Hier encore, c’était le temps de l’adolescence.
C’était loin d’être désagréable. J’avais l’impression d’être pris au sérieux, d’être mieux considéré.
J’montais des échelons … j’prenais du grade … j’pouvais enfin dire « Maintenant … je sais ».
Et pourtant, je ne savais rien … et même si c’était énervant de voir si souvent Ks Kurzawa … juste derrière … au moindre petit évènement … finalement … quel soulagement ! ( 106 ; 364 ).
Hier encore, c’était le temps de la jeunesse ( 365, 366, 367 ).
La mienne fut polonaise, colorée, folklorique, virevoltante, responsable et passionnante. La vôtre aussi. Nous nous sommes rencontrés souvent.
C’était le temps du « góralski » et de la souplesse, le temps des « kaftan » et des plumes de paon, le temps des bottes rouges et des applaudissements.
C’était le temps des traditionnelles Majówka à Comblain-la-Tour. Moi, j’attendais fébrilement ces fins d’années scolaires qui se terminaient si bien, avec tous les autres KSMP, à Comblain.
Hier encore, c’était le temps des premiers émois … de l’Amour que j’ai rencontré dans le parc, le long de l’Ourthe, un jour de juillet.
C’était le temps des petits baisers qu’on s’échangeait furtivement dans l’arbre aux singes ou dans le petit bosquet du côté du chemin de fer. Et puis, on rentrait au réfectoire, main dans la main, en pensant que jamais rien ne pourrait jamais nous arriver … et en essayant d’être discret …juste assez que pour être sûr que tout le monde nous voyait.
Et quand j’avais envie de lui voler – par surprise – un dernier « petit bisou », alors qu’elle était déjà remontée dans sa chambre, je m’assurais que la voie était libre, que personne ne nous avait épié, que Ks Kurzawa était assez loin, que je pouvais enfin m’élancer dans la cage d’escalier … mais – malgré toutes mes précautions – à chaque fois, à chaque fois … à chaque fois, j’étais à peine sur la deuxième marche qu’une main s’abattait sur mon avant-bras !
Avant même de me retourner, je savais déjà à qui appartenait cette main. Pourtant je l’avais vu, à peine quelques minutes plus tôt, dans le fond du réfectoire. Comment faisait-il ? Je me retournais lentement en suivant la main … la soutane …l’épaule … et Ks Kurzawa qui me regardait … même pas fâché … même pas en colère. On aurait dit comme de la lassitude dans son regard.
Au bout d’un moment, il disait : « Janek, Janek, où tu vas encore ? ». Il n’attendait pas de réponse. Il savait bien vers où je tentais de m’élancer. Pour faire bonne figure, je baragouinais une réponse du genre « J’ai prêté mon pull hier soir, et j’en ai besoin ». Mais aucun de nous deux n’y croyait … surtout qu’il faisait 30° dehors. Alors, je repartais dans le parc, tout seul et désespéré, en ruminant contre cette main si castratrice.
C’est à ça que je pensais – ce 28 juin 80 – quand j’ai vu, encore une fois, cette main se lever devant moi … Cette main qui m’avait si souvent freiné dans mon élan. Mais heureusement … cette fois-ci, elle s’élevait seulement pour nous bénir. J’ai eu envie de crier à Ks Kurzawa « Alors, mon vieux, c’est lequel de nous deux qui a gagné maintenant, hein ? ». Mais je savais déjà que c’était « tous les deux qu’on avait gagné » ( 368 ; 369 ).
Excusez-moi encore d’avoir été si long … si personnel … si mélancolique …
J’avais envie de me retourner un peu et de sourire à tout ça. Et pas seulement de sourire.
Si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est que vous êtes très courageux. Bravo, je vous félicite … et merci.
Aujourd’hui, c’était pour moi un jour un peu spécial. Aujourd’hui … 6 juin … j’ai 60 ans.
Upływa szybko życie,
Jak potok płynie czas,
Za rok, za dzień, za chwilę,
Razem nie będzie nas.
I nasze młode lata,
Popłyną szybko w dal,
A w sercu pozostanie
Tęsknota, smutek, żal …
06/06/2016 – Jean-Pierre Dziewiacien
0065 : COMBLAIN-LA-TOUR devant le perron : Debout : Pierre Front ; Richard Konarski ; Accroupis ; Jean-Pierre Dziewiacien ; ( ? ) ; Pierre-Marie Pytel0090 : COMBLAIN-LA-TOUR – Halte dans les bois : Devant, Francis Leleux ; allongé aux pieds d’Alice Bardo, Jean-Pierre Dziewiacien ; à la droite d’Alice, Bernard Pytel ; au fond, au centre Raymond Mielcarek, avec à sa droite Pierre Front et à sa gauche, Mirka Tchajka.0106 : COMBLAIN-LA-TOUR – Ognisko : Alexandre Persik ; Jean-Pierre Dziewiacien ; Ks Kurzawa.0364 : COMBLAIN-LA-TOUR : Dans le parc : Jean-Pierre Dziewiacien ; Daniel Pietka.0365 : KSMP Mons : Michel Mikolajczek ; Marek Bujanowski ; Jean-Pierre Dziewiacien ; Alexis Łagocki ; et tous les autres.0366 : KSMP Ressaix / Centre : Accroupis : Jean-Michel Deputat ; Daniel Kowal ; André Walaszyk ; Michel Spiewak ; Jean-Pierre Dziewiacien ; Vital Czuk. Debout : Dominique Ogonowski ; Marilyne Desmet ; Simone Wattiez ; Danièle Perzyna ; Eveline Ogonowski ; Malvina Rusowicz.0367 : KSMP Ressaix / Centre : Devant : Eveline Ogonowski ; Danièle Czajkowski ; Danièle Perzyna ; Simone Wattiez ; Marilyne Desmet ; Malvina Rusowicz. Derrière : Jean-Pierre Dziewiacien ; Michel Spiewak ; Vital Czuk ; Janek Perzyna ; Jean-Michel Deputat ; André Walaszyk.0368 : RESSAIX – 28/06/1980 : A l’église : Ksiadz Kurzawa ; Eveline Ogonowski ; Jean-Pierre Dziewiacien.0369 : Narodowiec : 27/06/1980.
Oj, zagrajta nam poleczkę
Poleczkę, poleczkę.
Oj, potańcujem troszeczkę,
Oj, potańcujem troszeczkę.
Oj, zagrajta nam poleczkę,
Oj, potańcujem troszeczkę.
Dobra poleczka, bo skoczna,
Bo skoczna, bo skoczna ;
Ale najlepsza z Opoczna,
Ale najlepsza z Opoczna
Dobra poleczka, bo skoczna
Ale najlepsza z Opoczna.
Oj, dobry dzbanek i śklanka
l śklanka, i śklanka ;
Ale najlepsza tramblanka,
Ale najlepsza tramblanka,
Oj, dobry dzbanek i śklanka
Ale najlepsza tramblanka