0028 – Retrouvailles à Comblain les 26 et 27/09/2015

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots, ce week-end, à Comblain…

Nous, les Anciens de Comblain, nous avions entendu l’invitation de Madame Basia Wojda :

« Witam wszystkich « Bylych Kolonistow ».
Ciesze sie niezmiernie, ze bedziemy goscic Was ponownie w Comblain la Tour.
Pragne powiedziec, ze dom ten jest nadal domem wszystkich Polakow mieszkajacych w Belgii.
Mam nadzieje, ze nie bedzie to ostatni weeckend spedzony w Comblain i nastepnym razem bedzie wieksza i wieksza grupa, ktora u nas zagosci.
Pozdrawiam Was serdecznie i zycze milego pobytu i wspomnien.
Do zobaczenia.
W imieniu zarzadu PMSZ.

Barbara Wojda. »

Nous sommes donc venus… en nombre… et avec une joie immense.

Merci Madame pour l’invitation… et aussi pour la charmante intention que nous avons dégusté, avec beaucoup de plaisir, juste après la montée du drapeau.

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots…

Nous avons été accueillis par Stefka Ludwikowska à qui, au nom de vous tous, je transmets tous nos remerciements. Grâce à vous Madame, notre week-end a été splendide… nous n’avons eu rien d’autre à penser que le plaisir que nous revoir. Dziekuje Pani. S’il vous plaît, transmettez notre gratitude à tous ceux de votre équipe qui ont travaillé en cuisine, au bar, et ailleurs. Ils ont tous largement mérité nos remerciements.

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots…

Au cimetière de Comblain sont enterrés les pionniers et les vétérans qui ont permis que nos aventures à la colonie soient possibles. Nous avons tenu à les remercier tous en déposant des fleurs et en ayant une pensée émue pour chacun d’eux.

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots…

Sur les routes de Comblain, d’Hamoir, de Xhignesse,… nous avons relevé le défi de marcher comme il y a 40 ans… et nous l’avons fait. Même si nos articulations, aujourd’hui, se rappellent à nos souvenirs…

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots…

Autour du feu de camp, on a chanté. C’était parfois improvisé, parfois pas tout à fait dans le ton, parfois dissonant, mais c’était notre première répétition depuis si longtemps. Nous ferons mieux la prochaine fois.

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots…

Ensuite, on a ri, dansé, partagé, et arrosé nos retrouvailles.

Il n’y a pas que l’Ourthe qui a coulé à flots… il y a aussi, l’amitié, la tendresse, l’émotion, les souvenirs, la gratitude, la reconnaissance, le respect, la fraternité, … et la vodka.

28/09/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien – https://anciensdecomblain.com/

0138_2015 : Comblain-la-Tour
0138_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Sofie Nowak ; Eveline Ogonowski ; Béatrice Laffut ; Fabienne Laffut ; Monica Nauschutz ; Stéphanie Goch ; Bénédicte Druszcz ; Dorota Druszcz ; Monique Kiełtyka ; Francine Załobek ; Zosia Król ; Régina Gymza ; Isabella Cosaro ; Dominique Ogonowski.
0139_2015 : Comblain-la-Tour :
0139_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Louise-Marie Dupont ; Amélie Liépin ; Sofie Nowak ; Eveline Ogonowski ; Béatrice Laffut ; Fabienne Laffut ; Monica Nauschutz ; Stéphanie Goch ; Bénédicte Druszcz ; Dorota Druszcz ; Monique Kiełtyka ; Francine Załobek ; Zosia Król.
0140_2015 : Comblain-la-Tour :
0140_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Jean-Pierre Dziewiacien ; Casimir Nowicki ; Pierre Ogonowski ; Georges Załobek ; André Karasiński ; Christian Liépin ; Robin Weiss ; Jef Rozenski ; Alexandre Kozlowski.
0141_2015 : Comblain-la-Tour :
0141_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Christian Liépin ; Casimir Nowicki ; Fabienne Laffut ; Monique Kiełtyka ; Francine Załobek ; André Karasiński ; Dorota Druszcz ; Amélie Liépin ; Bénédicte Druszcz ; Robin Weiss ; Sofie Nowak ; Isabella Cosaro ; Stéphanie Goch.
0142_2015 : Comblain-la-Tour :
0142_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Dominique Ogonowski ; Stefania Ludwikowska ; ( ? ) une des dames de la cuisine.
0143_2015 : Comblain-la-Tour :
0143_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Zosia Król ; Dorota Druszcz ; Dominique Ogonowski ; Monica Nauschutz ; Jef Rozenski ; André Karasiński ; Pierre Ogonowski ; Jean-Pierre Dziewiacien ; Régina Gymza.
0144_2015 : Comblain-la-Tour :
0144_2015 : Comblain-la-Tour – Retrouvailles des 26 et 27 septembre : Czesiu Kucharzewski ; Pierre Ogonowski ; Monique Kiełtyka.

Śpiewnik – 010 – Płonie ognisko w lesie

https://www.youtube.com/watch?v=-mo_BmYHe3g

https://www.youtube.com/watch?v=2doMskPZrj0

Płonie ognisko w lesie,
Wiatr smętną piosnkę niesie.
Przy ogniu zaś drużyna
Gawędę rozpoczyna.

Czuj, czuj, czuwaj ! Czuj, czuj, czuwaj !
Najstarszy wilk zawoła.
Czuj, czuj, czuwaj ! Czuj, czuj, czuwaj !
Rozlega się dokoła.

Przestańcie się już bawić
I czas swój marnotrawić.
Niech każdy z was się szczerze
Do roboty zabierze.

Tak ! Tak ! Tak ! Tak !
Najmłodszy wilk zawoła.
Tak ! Tak ! Tak ! Tak !
Rozlega się dokoła.

Wiatr w lesie cicho gwarzy,
Śpią wszyscy oprócz stróży,
A ponad śpiących głowy
Rozlega się krzyk sowy :

Puhu ! Puhu ! Puhu ! Puhu !
Wiatr w lesie cicho gwarzy.
Puhu ! Puhu ! Puhu ! Puhu !
Śpią wszyscy oprócz straży.

0027 – Les promenades ( 6 ) : Le camp des Gitans

Le camp des Gitans, voilà pour moi, le meilleur synonyme de « tendresse ».

C’était une destination que nous appréciions particulièrement. Pourtant l’endroit n’avait rien de spécial.

La prairie descendait, en pente douce, jusqu’à l’Ourthe. Quelques arbres, au bord de la rivière, donnaient un peu d’ombre ; juste ce qu’il fallait. Les groupes de filles et ceux des garçons s’y donnaient rendez-vous ; nous y avons vécu des moments délicieux.

C’est souvent ici, allongés sur l’herbe, que naissaient nos petites idylles et nos grandes histoires d’amour.

Ça fleurait bon la douceur, la naïveté, la tendresse, et… les phéromones.

Vous souvenez-vous encore comment on y allait ?

Il fallait passer de l’autre côté des voies du train, remonter la Rue du Vicinal vers la gare, longer les anciennes carrières des Hayires, repasser le petit pont qui enjambe les voies du train, et enfin prendre le sentier qui longeait la prairie.

Je doute que des gitans se soient un jour installés là. Le chemin était trop étroit pour le passage des roulottes. Il était juste assez large pour nous.

Ici, nous nous sentions à l’abri. Il ne pouvait rien nous arriver. Personne ne pouvait ni nous voir, ni nous surprendre.

J’ai voulu retrouver l’endroit sur Google Earth. Regardez les photos 132 et 133. Même vu de satellite, l’endroit paraît paisible et isolé.

C’est un havre de paix au bout de nulle part.

Par contre, une pensée me fait frémir : Imaginez que Google Earth ait existé à l’époque !

Et si les nouvelles technologies avaient permis à Ks Kurzawa et à Mr Bardo de nous espionner, à distance ! Vous les imaginez manipulant un drone ? Survolant le camp des Gitans ? Cherchant à nous piéger ? Photographiant nos moindres gestes ? Surprenant nos émois ? Immortalisant nos amours ?

Dieu merci. Nous avons échappé à ce progrès-là. En ce temps-là, quand on était « connecté », c’était par les yeux et par le cœur.

Quand l’heure du souper approchait, il était temps de rentrer… à contrecœur. Pour le retour, on marchait moins vite. On faisant semblant de s’intéresser à ce qui nous entourait, pour profiter encore un peu de la douceur… On s’aventurait dans les carrières.

C’est là, tout au fond de la carrière, que j’ai réussi pour la première fois, par un bel après-midi de juillet, à coincer Eveline ( Jean-Loup ). Elle ne pouvait pas s’échapper, je la tenais fermement appuyée contre la falaise ( j’suis pas sûre qu’elle voulait vraiment se libérer ). C’est là, que pour la première fois, que je lui ai déclaré ma flamme en tremblant. Pendant qu’elle, froidement, chantonnait la chanson de Dalida : « Paroles, paroles, paroles, paroles… et encore des paroles ».

J’ai dû improviser, me montrer convaincant, faire preuve d’imagination, sortir mes tripes, aller chercher au plus profond de moi ce qui avait de plus sincère… Elle a fini par craquer.

Et c’est là, contre la falaise, que nous avons échangé notre premier baiser.

Et vous, votre premier baiser à Comblain, c’était où ?

C’était quand ?

C’était comment ?

C’était avec qui ?

 Gdzie jest ta ulica, gdzie jest ten dom
Gdzie jest ta dziewczyna
Co kocham ją.
Znalazłem ulicę, znalazłem dom
Znalazłem dziewczynę
Co kocham ją.

 21/09/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien – https://anciensdecomblain.com/

132 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans.
0132 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans.
133 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans
0133 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans
134 - 1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans : Monique kiełtyka ; Thérèse Spiewak ; Beata Nowicki ; Nathalie Swiderski ; Gisele Wojas ; ( ? ).
0134 – 1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans : Monique kiełtyka ; Thérèse Spiewak ; Beata Nowicki ; ( ? ) Kotara ; Gisele Wojas ; ( ? ).
135 - 1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans : César ( de Liège ) ; Patricia Jakobowska.
0135 – 1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans : César ( ? ) ( de Liège ) ; Patricia Jakobowska.
136 - 1976 :COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans : Monique Kiełtyla ; Gisèle Wojas ; Patricia Jakobowska avec la jupe en jeans.
0136 – 1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – Le camp des gitans : Monique Kiełtyla ; Gisèle Wojas ; Patricia Jakobowska avec la jupe en jeans.
137 : COMBLAIN-LA-TOUR – Carrières des Hayires sur la route du camp des gitans
0137 : COMBLAIN-LA-TOUR – Carrières des Hayires sur la route du camp des gitans

0026 – Actualités du 21/09/2015

Bonjour à tous et à toutes,

1° Bonne nouvelle, encore une nouvelle membre s’est jointe à notre communauté.

Elisabeth Rozenski : Ancienne de Comblain et ancienne des Scouts d’Heusden / Zolder.

Elle est sur la photo 129, en 1972, sur le perron à Comblain, en compagnie de Regina Gymza.

Vous la reconnaîtrez encore, en 1982, sur le terrain de football de Comblain, lors du Jamboree en compagnie de son frère Piotr Rozenski, de Cécile Danielewski et d’Heniek Zapalowski de Liège – photo 130. Vous la reconnaîtrez, aujourd’hui, sur la photo 131.

Les Scouts ( harcerze) ont eu un rôle essentiel lors de l’achat et durant toute la gestion du Centre polonais de Comblain-la-Tour. Nous leur rendrons l’hommage qui leur revient.

Beaucoup des personnages qui ont marqué l’histoire de la maison polonaise étaient issus des scouts.

2° Pour ceux qui passent le week-end des 26 et 27/09/2015 avec nous, voici les dernières recommandations :

  • On vous attend, dans le réfectoire, pour 11 h 00, pour l’apéro ;
  • Le Centre ne dispose pas de Bancontact, prévoyez donc de l’argent liquide ;
  • Rappel du tarif : par personne : 30 euros pour 1 nuit + le petit déjeuner ; 10 euros le dîner ; 5 euros pour le souper ; les boissons ne sont évidemment pas comprises ; l’ambiance, c’est gratuit ;
  • Tous les lits sont prévus pour une personne ;
  • Des draps seront à votre disposition, mais rien ne vous empêche de prendre vos propres draps et même, si vous voulez, votre sac de couchage ;
  • Par contre, vous devez prendre vos essuies et votre trousse de toilette ;
  • Pour la promenade de samedi, prévoyez des souliers adéquats et un K-way ; nous ne sommes pas à l’abri d’une averse passagère ;
  • N’oubliez pas vos appareils photos et surtout vos GSM chargés à fond ; sur le chemin de la promenade … on n’a plus 15 ans … ; on recherche toujours des candidats chauffeurs pour assurer le retour des moins résistants ;
  • Pour la soirée de samedi, emportez avec vous le maximum de bonne humeur ; on chantera et on dansera ; si vous avez des CD de polka et de valse, prenez-les avec vous ;
  • Nous essaierons de déposer quelques fleurs sur les tombes de Pan Jan et de Mr Rzemieniewski  ; ceux qui peuvent apporter un petit bouquet seront les bienvenus  ;
  • Si vous avez retrouvé d’anciennes photos, prenez-les, on les scannera.
  • SURTOUT N’OUBLIEZ PAS DE RESERVER A COMBLAIN : 043/69.13.89,  même si ce n’est que pour un souper ou un dîner, car les dames qui nous accueillent doivent s’organiser et il n’y a plus de restaurants ou de snacks dans Comblain.
  • Nous serons entre nous ; QUE des Anciens de Comblain ; détente totale et relaaaaaaaaax ;

A samedi,

21/09/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien – https://anciensdecomblain.com/

129 - 1972 : COMBLAIN-LA-TOUR : Sur le perron : Elisabeth Rozenski ; Regina Gymza.
129 – 1972 : COMBLAIN-LA-TOUR : Sur le perron : Elisabeth Rozenski ; Regina Gymza.
130 - 1982 : COMBLAIN-LA-TOUR – Jamboree à Comblain, sur le terrain de football : Elisabeth Rozenski ; Pierre Rozenski ; Cécile Danielewski ; Heniek Zapalowski.
130 – 1982 : COMBLAIN-LA-TOUR – Jamboree à Comblain, sur le terrain de football : Elisabeth Rozenski ; Piotr Rozenski ; Cécile Danielewski ; Heniek Zapalowski.
131 : Elisabeth Rozenski
131 : Elisabeth Rozenski

Śpiewnik – 009 – Szła dzieweczka

Youtube
Youtube
Youtube

Szła dzieweczka do laseczka
Do zielonego – ha, ha, ha
Do zielonego – ha, ha, ha
Do zielonego.
Napotkała myśliweczka
Bardzo szwarnego – ha, ha, ha
Bardzo szwarnego – ha, ha, ha
Bardzo szwarnego.

Gdzie jest ta ulica, gdzie jest ten dom
Gdzie jest ta dziewczyna
Co kocham ją.
Znalazłem ulicę, znalazłem dom
Znalazłem dziewczynę
Co kocham ją.

Myśliweczku, kochaneczku
Bardzom ci rada – ha, ha, ha
Bardzom ci rada – ha, ha, ha
Bardzom ci rada.
Dałabym ci chleba z masłem
Alem go zjadła – ha, ha, ha
Alem go zjadła – ha, ha, ha
Alem go zjadła.

Gdzie jest ta ulica, gdzie jest ten dom
Gdzie jest ta dziewczyna
Co kocham ją.
Znalazłem ulicę, znalazłem dom
Znalazłem dziewczynę
Co kocham ją.

Myśliweczek bardzo szwarny,
Czarne oczka ma – ha, ha, ha
Czarne oczka ma – ha, ha, ha
Czarne oczka ma
A ta jego kochaneczka
Łezki ociera – ha, ha, ha
Łezki ociera – ha, ha, ha
Łezki ociera.

Gdzie jest ta ulica, gdzie jest ten dom
Gdzie jest ta dziewczyna
Co kocham ją.
Znalazłem ulicę, znalazłem dom
Znalazłem dziewczynę
Co kocham ją.

 O cóż płaczesz, lamentujesz
Moja dziewczyno – ha, ha, ha
Moja dziewczyno – ha, ha,ha
Moja dziewczyno ?
Wypłakałaś swoje oczka
Nie miałaś o co – ha, ha, ha
Nie miałaś o co – ha, ha, ha
Nie miałaś o co.

Śpiewnik – 008 – Tango pożegnalne

https://www.youtube.com/watch?v=KRrsnCclv5s

Tak niedawno żeśmy się zjechali, a już pożegnania nadszedł czas.
Krótko żeśmy z sobą przebywali, ale wiele wspomnień łączy nas.
I choć w życiu przyjdą smutne chwile, i choć przyjdą w życiu chwile złe,
Pamięć dni spędzonych razem mile, zmaży smutek i pocieszy Cię.

My dziś z piosenką pożegnamy się
Nasza piosenka nie zakończy się
Gdy usłyszymy tej melodii ton
To w sercach naszych radość wzbudzi on.

Życie daje nam radości tyle, tyle szczęścia i cudownych chwil,
trzeba wykorzystać każdą chwilę i zapomnieć, że istnieją łzy.
I choć smutek, żal ci serce targa, w oku twym niech nie zabłyśnie łza,
bo nikt nie zrozumie, co to skarga, trzeba śmiać się, chociaż serce łka.

My dziś z piosenką pożegnamy się
Nasza piosenka nie zakończy się
Gdy usłyszymy tej melodii ton
To w sercach naszych radość wzbudzi on.

0025 – Mystères de la mémoire

Regardez sur la photo 126. Vous la reconnaissez ?

Ceux qui sont sur facebook – et qui ont tout lu – connaissent déjà la réponse. Mais CHUT… laissez réfléchir les autres.

Alors, ça vous revient ? Mais si, la dame au centre de la photo ; avec sa sacoche et sa robe à fleurs ?

Elle, elle vous a repérés. Elle vous regarde droit dans les yeux. Ce n’est pas le genre « timide ».

J’avoue que moi aussi, j’ai eu du mal. Je ne l’ai pas reconnu. Pourtant…

Allez, je vous laisse encore un petit moment pour remuer vos méninges.

Sur la photo, il y a aussi Mr Jóseph Rzemieniewski ( qui était journaliste et correspondant du journal Narodowiec ), Ks Kurzawa et Pan Jan. Et même eux, ils font mine de ne pas avoir vu la dame.

Vous donnez votre langue au chat ?……… Pani Merta

Moi aussi ça m’a fait ça : j’ai été parcouru par un frisson.

Dès que Zdzislaw Blaszka a prononcé ce mot-là, un tas d’émotions sont revenues. Mais surtout, comme une angoisse, Pani Merta est de retour. Brrr.

Je suppose que vous êtes comme moi. Ceux qui l’ont côtoyé s’en souviennent. Cette brave dame nous a laissé des séquelles, comme une empreinte douloureuse sur « la page blanche de nos innocentes adolescences » ( oui, je sais… il faut le dire vite et pas trop insister ). Ceux qui ne l’ont pas connu – les chançards – ignorent à quel point elle nous paraissait tyrannique.

Avec le recul, c’était peut-être une personne charmante ? Peut-être quelqu’un qui s’était investi de la mission ingrate de nous faire marcher droit ? Je ne l’ai pas suffisamment pratiqué pour sonder l’intérieur de cette âme-là. L’extérieur nous suffisait, et nous affichions à son égard – et uniquement en sa présence – un respect respectueux. Bref, elle nous faisait peur. Pourquoi ?

J’ai beau creuser ma mémoire, impossible de me rappeler un seul exemple pour illustrer. Ce n’est qu’un sentiment diffus et inconfortable ancré au plus profond de nos terreurs d’adolescents.

Apparemment, les filles du Limbourg ont gardé d’elle est excellent souvenir. Bizarre.

Peut-être que Pani Merta voulait seulement « protéger » les filles du Limbourg contre les garçons wallons ?

Et pourtant, nous l’avons complètement oublié. Même en regardant la photo.

C’est le fait de prononcer son nom qui a déclenché le processus de mémoire.

Et autre exemple : il y a quelque temps, en discutant avec Czesiu Kucharzewski, il a prononcé un autre nom, tout aussi, évocateur : Lothard. Ça ne vous dit rien ? Je l’avais oublié, lui aussi. Czesiu m’a rappelé ce qui suit :

« Lothard – allemand qui d’après ma mémoire ne pétait pas un mot de polonais d’où communication difficile – s’amusait à viser nos arrière-trains ( surtout celui des filles ) avec un pistolet à plomb qu’il avait acheté au petit magasin de souvenirs de Comblain.

Même si l’arme était peu puissante, cela faisait mal et ne faisait rire que lui.

 Il avait réussi à mettre toute la colonie en alerte ½ journée ; on s’est tous mis en vain à sa recherche.

Monsieur s’est ramené tranquillement après quelques heures expliquant qu’il était parti pêcher au petit matin ne comprenant pas pourquoi tout le monde s’inquiétait de son absence.

Le curé allemand, entre autres, était, à raison, furibard.

 J’ai sûrement oublié d’autres épisodes, mais impossible qu’il n’y en ait pas eu.

Je doute aussi qu’on lui ait permis de revenir les années suivantes. »

Pani Ludka Merta, Lothard, et beaucoup d’autres ne renaissent dans nos mémoires que si quelqu’un les évoque. Qui se souvient encore de Violette ( photo 128 ) ? et de Tam-tam ?

C’est un peu comme dans l’œuvre de Marcel Proust « Du côté de chez Swan ». Un parfum, une odeur, un mot sont autant d’invitation à la nostalgie. Sauf que nos souvenirs à nous, ils sont plutôt « Du côté de chez Wen ».

14/09/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien – https://anciensdecomblain.com/

PS : Pour ceux qui n’ont pas tout lu, ou tout mémorisé, Mr et Mme Wen sont ce couple très sympa qui dirige la superette à côté du pont de Comblain-la-Tour.

0126 : COMBLAIN-LA-TOUR – Devant l’escalier latéral : Mr Jóseph Rzemieniewski ; Ks Kurzawa ; Pani Ludka Merta ; Pan Jan.
0126 : COMBLAIN-LA-TOUR – Devant l’escalier latéral : Mr Jóseph Rzemieniewski ; Ks Kurzawa ; Pani Ludka Merta ; Pan Jan. ( collection Zdzisław Blaszka ).
0127 : COMBLAIN-LA-TOUR – Sur l’escalier de l’entrée : Aux cheveux noirs, elle venait chaque année de Pologne pendant 2 mois pour travailler aux cuisines ; Mme Bardo ; Mme Koldziejka ; ( ? ) ; Pani Ludka Merta ; l’enfant ( ? ).
0127 : COMBLAIN-LA-TOUR – Sur l’escalier de l’entrée : Pani Duszowa, aux cheveux noirs, elle venait chaque année de Pologne pendant 2 mois pour travailler aux cuisines et restait même pour le séjour des retraités ; Mme Bardo ; Mme Koldziejka ; ( ? ) ; Pani Ludka Merta ; l’enfant ( ? ).
0128 : COMBLAIN-LA-TOUR – Dans le parc : Violette ? ; Eveline Ogonowski.
0128 : COMBLAIN-LA-TOUR – Dans le parc : Violette ? ; Eveline Ogonowski.

0024 – Actualités du 14/09/2015

Bonne nouvelle, 4 nouveaux membres ont rejoint notre petit groupe.

Dominique STEFANSKI : Ancienne de Comblain et du KSMP de Charleroi.

Vous l’avez déjà vue sur la photo 77 ( en noir et blanc ) ; vous la reconnaîtrez sur la photo 121 ( en couleur ). C’était sur le quai de la gare de Comblain. C’était encore un jour triste puisque les gens de Charleroi repartaient chez eux. Dominique est en pull jaune, c’est la première à partir de la droite.

La photo est flou malheureusement. Sur la photo 122 : Dominique aujourd’hui.

Alexandre PERSICH : Ancien de Comblain.

Vous l’aviez déjà reconnu sur les photos 105 et 106, en train d’allumer le feu ; et donc, vous ne serez pas surpris qu’aujourd’hui, il est encore et toujours en train d’allumer le feu sur la photo 123.

Même si celui-ci est plus modeste. Alexandre, tu ne changes pas.

Christian KUCINSKI : Membre toujours actif des Polonais du Centre et de l’ensemble Spotkanie.

L’ensemble Spotkanie, tout comme l’ensemble Wisła du Limbourg, sont la meilleure preuve que les polonais ne savent pas vivre sans folklore. La longévité de ces deux groupes est remarquable.

C’est le signe que, quelles que soient les épreuves, il y a toujours quelqu’un qui reprend le flambeau.

L’âme polonaise n’est pas prête de s’éteindre. Photo 124.

Piotr ROZENSKI : Ancien de Comblain et d’Heusden / Zolder.

Piotr, dont j’ai eu la chance d’être le moniteur, était déjà sur les photos 115, 116, 117, 118 et 119, au côté de Freddy Motala dont il était l’ami. Le même en plus jeune pataugeant dans l’Ourthe sur photo 125 à droite.

14/09/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien – https://anciensdecomblain.com/

0077 : COMBLAIN-LA-TOUR – A la gare, le jour du départ : A l’avant-plan, les 2 petits garçons : Eric Kotarzewski ; ( ? ) ; Au premier rang : Philippe Pietka ; ( ? ) ; Maryline Stefanski ; Dominique Ogonowski ; Patricia Jakobowski ; Liliane Kieltyka ; Isabelle Swiderski ; Dominique Stefanski ; Au deuxième rang : Georges Bardo ; les sœurs Milik : Charlotte et Karine ; Fabienne Laffut.
0077 : COMBLAIN-LA-TOUR – A la gare, le jour du départ : A l’avant-plan, les 2 petits garçons : Eric Kotarzewski ; ( ? ) ; Au premier rang : Philippe Pietka ; ( ? ) ; Maryline Stefanski ; Dominique Ogonowski ; Patricia Jakobowski ; Liliane Kieltyka ; Isabelle Swiderski ; Dominique Stefanski ; Au deuxième rang : Georges Bardo ; les sœurs Milik : Charlotte et Karine ; Fabienne Laffut.
0116_1979 : COMBLAIN-LA-TOUR : Piotr Rozinski ; Freddy Motala.
0116_1979 : COMBLAIN-LA-TOUR :
Piotr Rozenski ; Freddy Motala.
0121_1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1976 : Sur le quai de la gare : A l’avant-plan, les 2 petits garçons : Eric Kotarzewski ; ( ? ) ; Au premier rang : Philippe Pietka ; ( ? ) ; Maryline Stefanski ; Dominique Ogonowski ; Patricia Jakobowski ; Liliane Kiełtyka ; Isabelle Swiderski ; Dominique Stefanski ; Au deuxième rang : Georges Bardo ; les sœurs Milik : Charlotte et Karine ; Fabienne Laffut ; Béatrice Laffut.
0121_1976 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1976 : Sur le quai de la gare : A l’avant-plan, les 2 petits garçons : Eric Kotarzewski ; ( ? ) ; Au premier rang : Philippe Pietka ; ( ? ) ; Maryline Stefanski ; Dominique Ogonowski ; Patricia Jakobowski ; Liliane Kiełtyka ; Isabelle Swiderski ; Dominique Stefanski ; Au deuxième rang : Georges Bardo ; les sœurs Milik : Charlotte et Karine ; Fabienne Laffut + Béatrice Laffut.
0122 : Dominique Stefanski.
0122 : Dominique Stefanski.
0123 : Alexandre Persich.
0123 : Alexandre Persich.
0124 : LA LOUVIERE – Stand des Polonais du Centre : Jean-Luc Dupont ; Sylvie Jelen ; Christian Kucinski.
0124 : LA LOUVIERE – Stand des Polonais du Centre : Jean-Luc Dupont ; Sylvie Jelen ; Christian Kucinski.
0125 : COMBLAIN-LA-TOUR – Dans l’Ourthe : Dominique Ogonowski ; avec les lunettes de soleil, Liliane Kiełtyka ; Isabelle Swiderski ; Pierre Rozenski.
0125 : COMBLAIN-LA-TOUR – Dans l’Ourthe : Dominique Ogonowski ; avec les lunettes de soleil, Liliane Kiełtyka ; Isabelle Swiderski ; Piotr Rozenski.

Śpiewnik – 007 – Obozowe tango

https://www.youtube.com/watch?v=S_9U9L1U0ww

https://www.youtube.com/watch?v=wgC8eQxTLOw

Obozowe tango, śpiewam dla Ciebie,
Wiatr je niesie, las kołysze
Do snu dziewcze me.
Śpij moja kochana i czekaj na mnie ,
Może gdy się obóz skończy
Znów spotkamy się.

I choć nas dzieli,
Może tysiące wiosek i mil,
Nie zapominaj razem spędzonych chwil.
Tę leśną serenadę śpiewam dla Ciebie,
Obozowe tango, które nam wspomnienia śle.

Czy pamiętasz miła jak przy ognisku,
W ciemnym borze, na polanie
Spotkaliśmy się.
Bór nam szumiał rzewnie,
Byłaś tak blisko.
Serca nasze z żarem iskier
Połączyły się.

I choć nas dzieli,
Może tysiące wiosek i mil,
Nie zapominaj razem spędzonych chwil.
Tę leśną serenadę śpiewam dla Ciebie,
Obozowe tango, które nam wspomnienia śle.

0023 – les jolies colonies de vacances

« Ah, les jolies colonies de vacances, merci maman, merci papa.
Tous les ans, je voudrais que ça r’commence.

You kaïdi aïdi aïda. »

Pierre Perret n’a pas connu Comblain-la-Tour. C’est dommage pour lui. Mais, à écouter ses paroles, on se dit qu’il a quand même dû connaître l’ambiance des colonies. Sinon comment aurait-il pu si bien les décrire ?

Bien sûr, par moments, il exagère. Quoi que

À Comblain, on ne respirait pas « la fumée d’l’usine d’à côté » et on n’allait pas « jouer dans la décharge municipale », mais nous avions le rocher de la Vierge. L’escalader avec des dizaines de petits, c’était le sommet de l’inconscience.

Nos surveillants à nous, non plus, n’étaient pas méchants. « Ils ne ronflaient pas les trois quarts du temps », mais étaient parfois « ronds comme des queues d’pelles ». Quand on est polonais… on est polonais.

« You kaïdi aïdi aïda »

Avec l’âge, on est devenu, à notre tour, des moniteurs et des monitrices. Et on a reproduit ce qu’on avait appris.

Je n’ai pas le souvenir d’avoir puni en « attachant en plein soleil, tout nus barbouillé d’confiture ». D’ailleurs, on n’avait pas de confiture à notre disposition. Et le sirop de Liège, qu’on mangeait à 16 heures, était trop bon que pour le gaspiller. Mais nous avions nos propres méthodes. Surtout quand la troupe était difficile.

Le groupe le plus difficile que j’ai eu le « privilège » de gérer, nous a fait perdre, à mon sous-moniteur, Géniu Bujanowski, et à moi, notre patience et… quelques cheveux. Il faut dire que c’était une bande de cracs.

Le hasard avait réuni là tout ce que l’indiscipline, la provocation et la flemme avaient fait de mieux.

Impossible de les faire avancer. Impossible de les motiver. Impossible de tout.

Parmi eux, le plus terrible, c’était Freddy Motala. Celui-là était tout simplement ingérable.

Totalement rétif à toute forme d’autorité. Une véritable tête de cochon. Il ne pensait qu’à nous fausser compagnie pour « J’vous quitte là, j’vais voir ma fiancée, une vieille qu’a au moins ses dix berges ».

« You kaïdi aïdi aïda »

Le pire, c’est que c’était – déjà – un meneur et que ces conneries amusaient tellement les autres du groupe qu’ils essayaient tous de l’imiter. Il nous a épuisés Géniu et moi. D’autant plus que l’énergie qu’il fallait déployer pour contenir ses débordements, nous ne l’avions plus – ou beaucoup moins – pour draguer les filles.

Ce qui – tout le monde le comprendra – était évidemment la principale préoccupation des moniteurs.

On a donc essayé d’innover dans l’art de « mater ». Mais le bougre était coriace.

Quelques années plus tard, Freddy Motala a rejoint le KSMP de Mons. Moi, j’étais déjà parti.

Mais un jour, il est venu à la maison, avec Géniu, et nous avons reparlé de ces années autour d’un verre.

Freddy était volubile et intarissable. Il se souvenait d’une foule de détails que nous avions enterrés profondément dans nos mémoires ( sans doute, un peu, par culpabilité ). Il racontait « nos méthodes » avec un plaisir communicatif. Il riait des punitions qu’on lui affligeait et de brimades qu’il subissait.

« You kaïdi aïdi aïda »

C’est lui qui nous a rappelé que pour faire marcher la troupe, un de nous se mettait en dernier et bottait le cul du dernier enfant de la file… c’était souvent Freddy. Il bondissait alors devant, et c’est le nouveau dernier qui trinquait. Et ainsi de suite…

Il riait en racontant comment nous le faisions redescendre de son lit, dont il occupait le matelas du haut, et remonter autant de fois qu’il le fallait pour qu’il arrête de nous emm…

Il était écroulé de rire au souvenir d’avoir été enfermé, pendant la sieste, dans une armoire métallique avec des « pschitts » de bombe anti-moustiques à travers les trous d’aération. Quelle horreur !

Mais le pire de tout, c’est le jour où nous avons décidé, Géniu et moi, pour être tranquille quelques jours, de leur apprendre à danser comme des « gόrales ». Les convaincre n’a pas été compliqué. Nous leur avons expliqué que c’était pour le feu de camp. On a donc taillé, la veille, des bâtons pour en faire des « czupagis » et dès le matin, nous avons commencé un entraînement intensif. Très intensif. Très très intensif.

Bien sûr, nous savions qu’elle serait la conséquence. Nous-mêmes, pour montrer comment il convenait de faire, nous faisions preuve de beaucoup de retenue et d’économie. Eux par contre, ils y allaient de bon cœur… toute la journée. Le lendemain matin… aucun d’eux n’a su descendre les escaliers pour aller déjeuner. On a dû les porter. Les deux jours qui ont suivi, nous avons pu – enfin – draguer un peu.

«You kaïdi aïdi aïda »

À peine quelques mois plus tard, Géniu m’annonçait que Freddy s’était suicidé.

En suivant son enterrement, je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à tous ces souvenirs mémorables.

À cette tête de cochon, qui n’en faisait qu’à sa guise, mais qu’on ne pouvait qu’aimer.

Trente ans après, son souvenir reste intact. C’est bien la preuve qu’il nous manque.

Freddy, je suis sûr que tu es au paradis… J’espère que tu les fais ch… un maximum. N’hésite pas à leur pourrir leur éternité. Ils n’auraient pas dû, si vite, te reprendre à nous.

« You kaïdi aïdi aïda »

 07/09/2015 – Jean-Pierre Dziewiacien – https://anciensdecomblain.com/

0114 : -COMBLAIN-LA-TOUR – 1977 : Patrick Magdaj ; Cécile Dannielewski ; Michel Konarski ; Hélène Piech ; Freddy Motala ; Christine Piech.
0114 : – COMBLAIN-LA-TOUR – 1977 : Patrick Madaj ; Cécile Dannielewski ; Michel Konarski ; Hélène Piech ; Freddy Motala ; Christine Piech.
0115 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1979 : Devant le drapeau : Piotr Rozinski ; Michel Konarski ; Richard Szymczak ; Freddy Motala.
0115 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1979 : Devant le drapeau : Piotr Rozenski ; Michel Konarski ; Richard Szymczak ; Freddy Motala.
0116 : COMBLAIN-LA-TOUR - 1979 : Piotr Rozinski ; Freddy Motala.
0116 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1979 : Piotr Rozenski ; Freddy Motala.
0117 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Freddy Motala ; Piotr Rozinski ; Michel Konarski.
0117 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Freddy Motala ; Piotr Rozenski ; Michel Konarski.
0118 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Freddy Motala ; Piotr Rozinski ; Michel Konarski.
0118 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Freddy Motala ; Piotr Rozenski ; Michel Konarski.
0119 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Freddy Motala ; Piotr Rozinski ; Michel Konarski.
0119 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Freddy Motala ; Piotr Rozenski ; Michel Konarski.
0120 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Dans le parc : Freddy Motala ; Fabienne Laffut ; Michel Konarski.
0120 : COMBLAIN-LA-TOUR – 1980 : Dans le parc : Freddy Motala ; Fabienne Laffut ; Michel Konarski.