Les paroles s’envolent, mais les écrits restent ! Il en est ainsi aussi de nos mémoires … Les souvenirs s’envolent … disparaissent, mais les photos demeurent. Et ces petits commentaires qu’on écrivait rapidement au dos des photos – quand on les développait encore – sont toujours là … ils nous survivront … sauf si les générations futures ne comprennent pas que garder la trace de nos émotions c’est garder le meilleur de nous.
Notre communauté de souvenir se nourrit de tout ça … tel un ogre qui en veut toujours plus. Le but … peindre ensemble le tableau d’une époque. Et sur cette toile, tous les personnages sont importants … même le tout petit là, tout en haut à gauche, qu’on distingue à peine … Sur ce tableau, toutes les couleurs sont essentielles … elles sont autant d’émotions, de vibrations … chaque coup de pinceau a un sens, un message, chaque petite touche personnelle est un passage vers autre chose. On vous invite à participer à cette création … ce sera une œuvre créée par mille pinceaux … une aquarelle composée par milles peintres qui tous utilisent la même palette, le même chevalet … mille artistes qui s’inspirent du même décor.
Et si parfois on « s’emmêle les pinceaux » … ce n’est pas bien grave. Et même si on fait quelques taches … qu’importe. Il vaut mieux l’imperfection dans l’action que la perfection dans l’inaction ! Alors ne craignez plus de vous mettre à nu … racontez-nous votre Comblain. Ne traînez plus …
Je ne sais pas si vous connaissez la merveilleuse chanson d’Anne Sylvestre « Écrire pour ne pas mourir » ?
« On arpente sa vie au pas de promenade
Et puis on s’aperçoit qu’il faudra se presser ».
Il arrive toujours un moment où c’est le moment … Je vous laisse y réfléchir en compagnie d’Anne Sylvestre :
« Écrire pour ne pas mourir,
Écrire, tendresse ou plaisir,
Écrire pour tenter de dire,
Dire tout ce que j’ai compris,
Dire l’amour et le mépris,
Écrire, me sauver de l’oubli.
Écrire pour tout raconter,
Écrire au lieu de regretter,
Écrire et ne rien oublier,
Et même inventer quelques rêves
De ceux qui empêchent qu’on crève
Lorsque l’écriture, un jour, s’achève … »
20/07/2020 – JP Dz

Commentaire : ( ce commentaire vient de New York ! )
Aniela Wiertelak Kozanecka : Dziękuję, znalazłam też siebie choć tylko plecy widoczne, byłam wtedy pielęgniarka. Stoje za małymi dziewczynkami, biały sweter i spódnica we wzory, obok blondynki z długimi włosami. Miłe wspominam ten czas spedzony w Belgii, pozdrawiam z gorącego New York.







Commentaire :
Regina Gymza : Je me souviens que j’avais beaucoup de « cioci » et « wujki » … chez moi, on appelait les amis de mes parents comme ça. On ne disait pas Monsieur et Madame. Et on ne les appelait surtout pas par le prénom. Times have changed !

Commentaire :
Stefan Broniecki : Wspaniała para, tylko miłe wspomnienia.

Commentaire :
Elisabeth Saweruk : Deux belles personnes des souvenirs plein la tête et le cœur.

Devant : ( ? ) ; ( ? ) ; ( ? ).
Commentaire :
Elisabeth Rozenski : C’était des filles de mon groupe, la plupart du Limburg et d’Anvers. Année 1979 ?
Karin Malek : Je pense que je reconnais Sonja Studzianski et ensuite Danusia Osiadacz et Angelica et aussi Elzunia Osiadacz et notre Monitorka Elisabeth Rozenski.
Elisabeth Rozenski : les deux filles gauche et droite d’Elzunia, je pense, étaient d’Anvers. N’ y avait-il pas une Alicja ?
